Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Prix
Societe Des Ecrivains
-
« Que s'est-il passé réellement ? Il ne peut s'agir d'une banale dispute entre promeneurs du dimanche. Ce serait invraisemblable. Ou alors il y a eu provocation et querelle grave. Je suggère à François d'envoyer ses propres enquêteurs sur place. En attendant, nous réfléchissons. Agression visant l'Ambassade de France à travers l'un de ses membres pris au hasard ? Possible. Si cette hypothèse est juste, c'est très grave. Agression beaucoup plus personnelle visant bel et bien Gérard et personne d'autre ? Très vraisemblable aussi. Mais il faut chercher les motifs. Le simple vol de voiture me semble à exclure vu la façon dont se sont passées les choses. D'ailleurs, il paraît qu'elle est réduite à l'état d'épave. Le colonel Prat devrait envoyer quelqu'un la récupérer dans la matinée. Il ne pourrait s'agir que de querelles personnelles, questions d'argent, de femmes... Mais s'il a des petits secrets peu avouables, il ne les racontera pas ! Reste naturellement la solution du rapport entre ses activités d'agent des services secrets français et cette tentative d'assassinat. Tout cela sent le souffre ! » 1991, la France s'apprête à rouvrir son ambassade à Phnom-Penh. L'auteur qui vient d'épouser son compagnon, nommé Attaché de Défense, arrive dans l'ex Kampuchéa. Services secrets, prise d'otages, meurtres... Elle sera le témoin privilégié du microcosme diplomatique et des intrigues tortueuses d'un État aussi corrompu que dangereux. Ses « Quatre années au Cambodge » seront une aventure tour à tour passionnante et effrayante, où l'inattendu côtoiera les désillusions, la fascination, la répulsion. Immersif et instructif, un témoignage rare et sans langue de bois.
-
Quand la case aux lamantins livre ses secrets...
Collectif
- Societe Des Ecrivains
- 6 Novembre 2015
- 9782342044423
Vieux-Bourg (anciennement la Case aux Lamantins), section de Morne-à-l'Eau, Grande-Terre, Guadeloupe... Il y a là un sénat, des femmes potomitan, des pêcheurs généreux... Témoignages aussi des lieux chargés d'histoire et une mangrove à préserver. On y trouve encore un esprit qui cultive le passé, et un autre qui se projette déjà dans l'avenir... Vieux-Bourg dont les habitants qui y sont résolument attachés ressuscitent et transmettent ici l'histoire, dans un ouvrage qui dit tout autant le respect que l'amour pour celles et ceux qui ont marqué ces lieux.
Petites et grandes figures, anecdotes et événements plus importants, héros et héroïnes ordinaires, traditions et gestes d'hier : ils se retrouvent dans ce "Quand la Case aux Lamantins livre ses secrets..." qui fait focus sur un bout de territoire guadeloupéen qui, pour être méconnu, n'en demeure pas moins riche. Un ouvrage d'autant plus original qu'il est l'enfant d'une communauté qui expose ici avec fierté, et aux yeux de tous, et ses souvenirs et son dynamisme. -
«?J'observe que, de même qu'à Bangkok où j'éprouvais partout une impression de déjà vu d'où découlait un étrange sentiment de "revenir à la maison", ici, je me sens parfaitement à l'aise, tout me plaît, tout me semble déjà familier, et il va sans dire que maintenant, l'utilisation des baguettes n'a plus de secrets pour moi?!?» En triant les archives de son amie Annie, Amélie de la Musardière est tombée sur la correspondance de cette dernière avec sa famille alors qu'elle se lançait dans l'aventure de l'enseignement en Asie, à la fin des années 70. Au travers de ces courriers, ce sont des facettes inconnues de son ancienne camarade de classe, d'ordinaire si sage et studieuse, qui se dévoilent à nous. Ouvrage particulièrement intime, "Professeur à Taïwan" est une magnifique histoire de découverte et de rencontre, entre une femme cherchant à fuir son destin et une civilisation qui changera à jamais sa vision de la vie.
-
« L'immobilisme c'est la mort, le tout et le rien réunis. La vie, c'est vibrer, réagir, s'émouvoir, rire et pleurer. Mais nous avons perdu, au fil des jours de notre vie d'adulte et au contact de l'environnement dans lequel nous vivons, notre spontanéité, cette grâce naturelle quand on est enfant. Notre vie devient alors plus insipide, sans saveur profonde, si l'on n'en prend pas la mesure pour la corriger. Préserver alors notre âme d'enfant et notre émerveillement devrait être, à tout âge, un réflexe naturel pour continuer à bien vivre. Quel sens donner à sa vie ? Notre relation face à notre existence apparaît difficile à notre époque, comme si le cheminement naturel de notre vie devait être optimisé pour n'en retirer que le parfum ultime ! » Axelle Bourreli a eu l'idée de ce livre Songe d'une vie douce à son arrivée au Québec, en partance de France. L'inspiration pour la phase d'écriture a été encore plus intense que celle imaginée au départ du fait des événements, comme une séparation. Ce sont ses impressions dans la construction de ses nouvelles vies qu'a souhaité raconter Axelle, l'une des rares personnes à avoir écrit sur l'aller-retour de l'expatriation. Par un regard empreint d'émerveillement, d'émotions et de philosophie, elle nous livre ici une réflexion sur comment développer les ondes positives dans sa vie au gré des changements. Construit tel un tableau avec une description colorée, rêveuse et contemplative de Montréal, Paris ainsi que des destinations de voyages, cet essai inspirant explore la formidable aventure de la vie à travers la découverte de la multitude des sentiments, des rencontres, des pays sur une tranche de vie entre trente ans et quarante-cinq ans.
-
-
Enceinte à 17 ans, maman à 18 ans
Dyen lewis Milandou
- Societe Des Ecrivains
- Liberte
- 17 Janvier 2008
- 9782748036145
Dyen Lewis MILANDOU est une jeune mère de 23 ans aujourd'hui qui souhaite en toute sincérité nous faire partager par sa première expérience de l'écriture, son témoignage sur son parcours de son enfance à son adolescence jusqu'à devenir une jeune maman fraîchement majeure. Que cette lecture soit bénéfique au futures jeunes maman.
-
« Cheminement d'un être » qui a presque réalisé le rêve de chacun, vivre suivant ses goûts et réaliser ses désirs en évitant le plus possible les contraintes. Un être heureux à tel point qu'il se prend pour un « imbécile heureux », satisfait de cet état de choses quand il voit autour de lui tant de gens malheureux et qui sont loin de se prendre pour des imbéciles. Il a trouvé la clé du bonheur dans cette pensée de Blaise Pascal : « Chaque homme est un univers » dont il est la vivante illustration. Réussite d'une vie paradoxale : brillante et humble, vécue luxueusement pauvre.
-
Ce livre, qui n'était pas destiné à en être un, retrace d'abord le parcours obligé d'un jeune homme plutôt idéaliste dans la guerre d'Algérie. Les flashes de la mémoire se succèdent, tantôt édulcorés, tantôt violemment imagés, intimement mêlés à la "vraie vie", celle d'après. Celle que tous attendaient en silence. Moments de grâce et moments de détresse. Rencontres plus ou moins brèves, faites d'ombres et de lumière. Saint-Exupéry, parlant de Guillaumet perdu dans les Andes lui fait dire : "ma...si elle croit que je vis, croit que je marche". Et en effet, tant qu'on marche...
-
1939-1945 sept années volées à ma jeunesse
Marie-ange Bartholomot bessou, Louis Suarez
- Societe Des Ecrivains
- 19 Novembre 2013
- 9782342014839
Pendant sept ans, Louis Suarez a vécu les tourments du second grand conflit mondial. Sept années au cours desquelles il a d'abord subi les mois d'attente de la «?drôle de guerre?» et les tragiques semaines du désastre de mai 1940, de la Blitzkrieg, de l'effondrement de la France et de la débâcle ; puis il a connu les années d'exil et de captivité dans un camp de Prusse Orientale - Stalag 1B à Hohenstein - et le travail en commando dans un grand domaine agricole allemand. Il a enfin survécu à trois mois de terreur dans le piège des atrocités et des crimes que les «?libérateurs?» soviétiques infligèrent à la population civile et aux prisonniers alliés dans les territoires d'Europe de l'Est. Docteur ès Lettres et chercheur, Marie-Ange Bartholomot Bessou est la plume traductrice de ce cataclysme vécu de l'intérieur. Elle transcrit et insère dans l'Histoire un récit qui nous offre mille renseignements sur les mille facettes d'un drame multiforme dont tant d'aspects sont encore à découvrir et à étudier et qui, sans ce genre de témoignages, seraient condamnés à l'oubli.
-
« Après la reprise en main de l'établissement, suite à l'arrivée de Fulber, qui a été envoyé là pour remettre sur pied le champ de ruines laissé par Doze, son prédécesseur, il faut bien s'attendre au mécontentement des détenus. L'émeute étant prévisible, les agents de service du matin dont je fais partie doivent rester sur place, en renfort de ceux de l'après-midi. Cela fait une trentaine de personnes en plus. On n'a rien trouvé de mieux que de laisser le mess du personnel ouvert pour que les agents trouvent le temps moins long.
Le repas pris, beaucoup ont soif. Pied de vigne, Duchneul, le Polonais et tant d'autres. La mousse et l'anis gras coulent à flots, pendant qu'on entend derrière les hauts murs les clameurs de la détention en révolte. ».
Deux grandes centrales, une petite maison d'arrêt, plus de trente années dans l'administration pénitentiaire : rassemblant ici ses souvenirs pour témoigner du singulier métier de gardien de prison, l'auteur livre une foule d'anecdotes hautes en couleur et illustre d'un oeil critique, et non sans humour, un microcosme carcéral encore méconnu du grand public. -
Un accident de moto et, à vingt ans, toute la vie de John bascule... Avec elle, ce sont celles des membres de sa famille qui volent en éclats, qui se mettent à trembler, à balancer entre la peur et l'espoir que les choses - le handicap, le mal, l'éloignement - pourront se résorber. Et contre toute attente, John se bat, remonte patiemment la pente, surprend les siens, au point qu'il peut réintégrer le domicile familial... Jusqu'à ce que l'effroyable frappe de nouveau... Les liens qui unissent frères et soeurs sont puissants, inaltérables, indéfectibles. C'est ce que prouve le récit de K. Lochon qui dit ici toute son affection pour un frère trop tôt parti, qui évoque avec pudeur les années d'enfance et d'adolescence passées auprès d'un homme abîmé, qui chante aussi avec tendresse les instants de complicité et de bonheur... Texte en forme d'hommage au disparu, mais encore en forme de déclaration d'amour, "Jusqu'à son dernier souffle" s'avère, par sa retenue, par les sentiments universels qu'il charrie, poignant.
-
« La situation est ce qu'elle est, il faut la prendre comme telle ; ne pas l'accepter, la refuser est préjudiciable. La situation est déjà assez grave, surtout ne pas en rajouter. Maintenant le diagnostic est bien posé, je sais contre quoi je dois me battre et que des armes efficaces existent. »
-
Renaud est un homme contemporain banal qui lutte pourtant avec originalité pour vivre dans cette société qu'il décrit comme cruelle. C'est un idéaliste, et l'idéalisme a peu de place dans ce monde. Alors il fuit, consciemment ou non, cette réalité incompréhensible qui l'entoure, celle de l'école, de l'entreprise, fuit les protocoles et les règles... Il se découvre un mode de fonctionnement singulier, un univers atypique, un monde où l'imaginaire envahit le champ de sa pensée. Ce n'est pas sans souffrance qu'il évoluera mais en luttant contre la maladie. À trente-neuf ans, marié, trois enfants, ayant travaillé dans une dizaine de sociétés, créé une entreprise, sans cesse à la recherche d'adrénaline dans les sports extrêmes et autres aventures, voyages à travers le monde, fouillant dans les livres à la recherche de solutions, sa quête du bonheur n'est toujours pas atteinte. Comment progresser sans blessure quand l'idéal recherché n'existe pas ? Le désir du toujours plus s'avère être un leurre. Comment donner un sens à sa vie ? Après un tragique accident qui changera le fil de son existence, il identifiera alors des plaisirs plus purs et plus intenses. Projets humanitaires et caritatifs lui apporteront un nouvel élan... Diagnostiqué intellectuellement précoce à l'âge adulte, mais aussi bipolaire, l'auteur témoigne d'une vie portée par une sensibilité hors norme. Continuellement en manque de sensations fortes et avec un besoin perpétuel d'alimenter ce cerveau en ébullition, il lui faudra sans cesse raviver cette étincelle de passions qui le nourrit, tandis que les périodes de calme et de répit sont considérées comme ses pires ennemis et sources d'un profond mal être. Écrit avec pudeur et sincérité, ce récit sur la maladie est une histoire personnelle vive d'émotion, une aventure humaine passionnante, un message d'espoir sur la force de la vie.
-
"Fouille et refouille, je récupérai mes vêtements et je fus invitée à rendre ceux de l'État et à enfiler mes propres affaires. J'avais aux pieds les gros souliers d'hiver envoyés par ma mère, trois pointures de trop, mais qu'importe. J'étais libre. Ce n'était plus un rêve, je quittais pour de bon cet endroit, j'allais de l'autre côté du mur là où tant de fois j'avais rêvé me retrouver. Avec mon baluchon sous le bras, devant les portes ouvertes, je fis les premiers pas dans le monde libre. Dehors c'était le printemps, nous étions en avril 1954".
Des premiers internements de la République populaire au coup d'État de 1989, en passant par la révolution de 1956, ce sont cinquante années d'histoire de la Roumanie communiste que dévoile le récit terrifiant d'Iléana Landi Goga, à travers le destin de sa tante Ecaterina. Incarcérée de 1949 à 1954, puis à nouveau condamnée en 1959 à vingt-cinq ans de détention, celle-ci sera finalement libérée en 1964... De prison en prison, d'espoir en désillusion, avec une liberté au goût amer à la clef, ce second tome conclut une saga authentique, édifiante, déchirante.
-
Comment ces billets d'humeur réussissent-ils à illustrer avec talent l'actualité des dernières années.
Souvent drôles, parfois graves, toujours bien tournés, ces Billets d'humeur illustrent avec talent l'actualité au jour le jour de ces dernières années, dénonçant les incohérences de notre société médiatique et remettant à l'honneur le « bon sens » de nos traditions.
Le Général (2s) Jacques Favin Lévêque est un spécialiste de l'Union européenne, mais bien au-delà de l'avenir de celle-ci - et notamment de sa défense - il aborde dans ces quelques pages les domaines les plus variés et l'on ne saurait être insensible au charme de sa chronique des temps présents... -
Bacau, Moldavie, années 1930. Les jours paisibles de la famille Lipan vont bientôt prendre fin. Le roi Carol, vénal et corrompu, solde la Roumanie aux Russes et aux Allemands avant d'abdiquer. L'été 1941, les alliances se déchirent, et la Roumanie, aux côtés de l'Allemagne, déclare la guerre au communisme arrivé à ses frontières. Ecaterina a quatorze ans, et son entrée forcée à l'internat n'est rien face aux horreurs qui l'attendent. Car après les combats, un coup d'État communiste installe une dictature qui sévira plus de quarante ans...
-
Alexandre de Larderel, l'enfant oublié ; Marie Bashkirtseff ; Alexandre de Larderel
Lea Vanona
- Societe Des Ecrivains
- 9 Août 2018
- 9782342162639
" Si le comte Alexandre de Larderel (1854-1885) nous est surtout connu par le "Journal" de Marie Bashkirtseff, où la jeune artiste russe évoque la fulgurante "toquade" qu'il lui inspira lors de ses deux séjours napolitains (1876 et surtout 1877), il devrait l'être plus encore par son appartenance à une illustre famille d'origine française qui a largement contribué au développement économique de la Toscane tout au long du XIXe siècle, et même de l'Italie... En effet, le grand-père d'Alexandre n'est autre que François de Larderel qui, parti de rien il y a deux cents ans, parvenait à créer en peu de temps une gigantesque entreprise industrielle grâce à l'exploitation du borax à Montecerboli (Toscane du Nord), devenu bientôt Larderello en hommage à sa réussite grandiose. " Léa Vanona a mené une véritable enquête pour retracer l'histoire d'Alexandre de Larderel et de sa lignée, proche des hautes familles princières italiennes. Se glissant dans la peau de son personnage, l'auteur nous plonge dans la vie d'un dandy épris de littérature, loin des affaires reprises par la branche aînée de la famille. Au-delà de la chronique d'un monde à part et d'une époque révolue, elle nous fait revivre la relation amoureuse amorcée avec l'artiste ukrainienne sous le ciel napolitain, restée inassouvie. Fascinante, originale et richement documentée, épaulée par des extraits de journal intime de correspondance, une page d'histoire à hauteur d'homme qui, si elle oscille entre le roman et l'essai biographique, fait la part belle à l'art, et celui d'aimer en particulier.
-
Le handicap invisible : pied de nez aux cons !
Annick Procacci
- Societe Des Ecrivains
- 3 Juin 2016
- 9782342052015
« Vingt-cinq ans, cela fait vingt-cinq ans que je souffre dans un corps qui ne correspond pas à mon physique et à l'image que je renvoie. Mon apparence est celle que vous, vous voyez ou que vous voulez bien voir ! » À travers ce récit, l'auteur dénonce le stéréotype du handicap, forcément visible. Exorcisant son mal-être, elle nous relate son périple, des premiers symptômes de la « fibromyalgie » aux étapes multiples de son difficile combat contre cette maladie rare et incurable. Instructif et édifiant, son témoignage poignant est un véritable appel à la compréhension et pousse le lecteur à la réflexion sur la notion du handicap autant qu'il lève le voile sur cette pathologie encore trop méconnue.
-
Survivre à la mort de ses enfants ; rétrospective et prospective
Jean-claude Parcot
- Societe Des Ecrivains
- 22 Décembre 2017
- 9782342158229
« Écrire est en réalité vouloir lutter contre la fatalité, cette sorte de prédestination qui déterminerait le cours des événements de l'histoire des hommes d'une manière irrévocable et contre le hasard, cette imprévisibilité des péripéties qui arrivent insidieusement. » Il n'existe pas de mot pour désigner le sort d'un parent qui affronte la mort de son enfant. Jean-Claude Parcot a recours à la philosophie et à la théologie pour tenter de poser des mots sur l'indicible et comprendre dans quelle mesure une part de divin infuse nos vies. Comment accepter la tournure tragique du destin lorsque la mort frappe dans la fleur de l'âge ? La disparition de son fils et de son petit-fils laisse un vide impossible à combler, mais il trouve dans l'amour de ses proches l'énergie de poursuivre son chemin de vie. Ce récit sur l'expérience du deuil inspire une profonde compassion et constitue pour tous une leçon de sagesse.
-
Le flamant rose ; histoire de psy
Marie-claire de Hemptinne
- Societe Des Ecrivains
- 3 Mai 2019
- 9782342166194
« J'aime les couleurs gris et rose, qui sont douces et s'harmonisent parfaitement. N'oubliez pas que je suis d'origine flamande et que j'aime beaucoup le rose ! et là vous comprenez le titre de mon livre. Perché sur une patte, c'est un animal gracile d'une grande élégance et fragilité en même temps. Sous cette apparence, il dégage une grande force et puissance et je m'y retrouve bien puisque je ne peux compter que sur une jambe et que j'ai une certaine force mentale. » Après trente-six années d'exercice en tant que psychothérapeute, Marie-Claire de Hemptinne se confie à coeur ouvert dans son autobiographie. Le récit de sa douloureuse enfance et adolescence nous apprend ce qui a motivé les choix de sa future vie d'adulte. Véritable manuel de savoir-vivre, cet ouvrage donne accès à des approches très diverses visant à se remettre d'un choc émotionnel ou d'un traumatisme quelconque. L'autrice prouve qu'il existe des moyens d'affronter ses démons, comme par exemple en verbalisant ses souffrances pour se libérer de leur emprise et trouver le bonheur. Grâce à sa riche expérience et ses conseils avisés, elle donne les clés permettant de mieux apprécier l'instant présent pour mener une existence harmonieuse et épanouie.
-
-
Le loucherbem ou l'histoire d'un boucher de banlieue
Bernard Bruyant
- Societe Des Ecrivains
- 16 Décembre 2013
- 9782342017670
« Ses parents se disaient et lui disaient : "Qu'allons-nous faire de toi ?" Et lui répondait : "Un boucher, pardi !" Sourire franc du père, mitigé de la mère pour qui ce métier était trop "prenant". »
-
« Aujourd'hui, l'élève n'apprend plus grand-chose à l'École mais il y croise de belles leçons de lâcheté, de malhonnêteté et de perversité. Il ne saura plus lire, ni compter, mais saura - peut-être - bien nager en eaux troubles ! ».
Après plus de trente ans passés à enseigner, Philippe Denoual dresse un sombre tableau de l'école d'aujourd'hui. Révolté face au délitement du rôle de l'enseignant réduit au rang d'animateur, face aux incohérences de l'Éducation Nationale qui aboutissent inéluctablement à la perte des objectifs de bases de l'école que sont la lecture, l'écriture et le calcul, mais aussi face aux mesquineries, à l'individualisme ambiant et au règne du chacun pour soi, il pointe sans concession les aberrations d'un système qui « produit du vide ».
Riche d'anecdotes plus édifiantes les unes que les autres, "Journal d'un instit de campagne" est un constat d'échec alarmiste et inquiétant des politiques éducatives menées ces dernières décennies. -
Pourquoi les abeilles ne se posent pas sur les dattes ?
Rezak Kessas
- Societe Des Ecrivains
- 25 Janvier 2010
- 9782748044522
Avant d'aller butiner, l'abeille ouvrière tient un rôle spécifi que: elle devient gardienne de l'entrée de la ruche et interdit l'accès aux étrangères. Sachant qu'une ruche dénombre plus de 80 000 abeilles, comment cette ouvrière réussit-elle à les identifier? En France, on trouve également des gardiens interdisant l'entrée des étrangers sur le territoire national comptant plus de 63 millions d'âmes. Cependant, identifi er un étranger est plus simple: la différence de la langue, de la couleur de peau et bien entendu un morceau de plastique qu'on appelle communément "les papiers". Moi, Rezak Kessas, ex-sans-papier en a fait l'expérience. J'ai goûté à la production de l'abeille: le miel et le venin. Mais que c'est bon de goûter au miel après avoir été piqué par du venin!