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18 heures Je m'apprête à rentrer chez moi. Dans le couloir, Fatoumata me regarde enfiler mon manteau. - Maîtresse, tu t'en vas déjà? Tu pars à ton travail ? Demain, dans le noir, à l'heure de la sieste de mes élèves, assise par terre entre deux petits lits, je noterai cette perle. Elle enrichira mon journal de bord débuté le jour de la rentrée des classes. Une année en petite section de maternelle. Au jour le jour, avec Tso-Lin, Milo, Lilou, Moussa et les autres. Une année de rire, de doute, de joie, de ras-le-bol, d'émotion et de tendresse. - Maîtresse ? - Oui Fatou ? - J'veux pas que tu t'en partes.
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Et si on allait en Albanie ? Terre insolite des Balkans
Danielle Giroud
- Publibook
- 20 Juillet 2010
- 9782748354966
Qui peut prétendre connaître le vrai visage de l'Albanie ? Un pays longtemps abstrait, marqué par son histoire. Une terre montagneuse, avec des beautés sauvages, une campagne bichonnée, des villes gribouillis qui s'étendent, pressées. Un pays en pleine transition, qui tout à la fois se délabre et construit, se montre accueillant, est capable de colères, avec des élans de modernité et des résidus d'archaïsmes, des aspirations et un cruel manque de moyens. Deux couples d'amis, deux camping-cars, trois semaines de route et de découvertes, 5730 kilomètres.
Un voyage original pour un pays méconnu, une expérience touristique et culturelle hors des sentiers battus : c'est l'aventure qu'ont choisi de vivre Danielle Giroud et ses compagnons amoureux d'ailleurs. Dans ce carnet de route, elle choisit de faire découvrir de l'intérieur les différentes facettes de l'Albanie - le Sud comme le Nord - et ses mille trésors. Nourrie d'humour, truffée d'informations, de conseils et d'anecdotes, une véritable invitation au départ. -
Au-delà de l'interrogation de ses petits-enfants, Jacques Favin Lévêque répond aux jeunes et aux moins jeunes. Il évoque les multiples défis du 21e siècle et leur délivre un message de confiance et d'espoir pour parachever la construction européenne.Du même auteur : Construire l'avenir avec sagesse, édité par la Société des Écrivains.
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Le Temps des violettes. Le temps des heures précieuses vécues en famille, au quotidien. Les dernières années de paix avant que les deux guerres mondiales ne viennent créer ses désordres et ses deuils. Un récit qui déborde les souvenirs personnels de l'auteur, dévoilant l'existence des parents et des aïeux au détour de documents privés et intimes. Les méandres d'une histoire familiale qui remonte le temps généalogique et ressemble aux joies et peines de toutes les familles. Avec leurs fragilités : Ce « Temps des violettes » dont parle cet oncle, Louis, qui ne revint jamais du front.
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Face au cancer de mon père, et contre la fatalité affichée par la médecine traditionnelle, j'ai remué ciel et terre parfois nuit et jour durant des mois, pour trouver l'antidote miracle. J'ai pensé qu'un nouvel espoir était sans doute possible, au travers de méthodes alternatives, en misant sur des solutions simples et accessibles. Je me suis ainsi tourné vers la vitamine C, la méthode Budwig, et un panel de micronutriments recommandés par des scientifiques, allant à l'encontre de certains lobbies. Il y a peu encore, j'ignorais chacun de ces protocoles, car notre éducation, nos moeurs, nous permettent de ne connaître et de ne nous fier qu'à une seule et unique voie de traitement. Mon témoignage vise avant tout à redonner espoir.
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Maisons d'arrêt ; parcours d'une visiteuse de prison
Claude Bréguet drory
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 28 Février 2011
- 9782748361414
Dans un style direct et vivant "madame Much", visiteuse de prison, raconte son parcours dans le milieu carcéral, ses visites et le suivi de quelques-uns de ceux qu'elle a rencontrés en prison, tout en vivant sa vie de famille. Elle raconte aussi ses relations avec la magistrature, la police, les gendarmes. Avec son journal, elle témoigne de son expérience sur le terrain et suggère des solutions envisageables pour tâcher d'éviter les nombreuses récidives de petits délinquants.
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Journal d'une génération anonyme
Bertrand Séchard
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 26 Novembre 2012
- 9782748396881
"Cela bouillonne trop dans ma tête, devenue une ruche qui tente d'être en paix avec elle-même afin de fabriquer chaque année l'indispensable miel de son existence. Une véritable ruche qui lutte sans cesse contre les mauvaises pensées pesticides souhaitant détruire l'équilibre intérieur et qui doit se renouveler pour ne pas sombrer dans la mort cérébrale. Il faut que j'évacue toutes ces pensées. J'ai donc décidé de m'inventer un ange gardien prêt à m'écouter. Réflexions existentielles, coups de coeur, idées folles, pensées du jour et petits moments de blues rythmeront ce journal intime de nouveau trentenaire. Alors si tu le veux bien, j'aimerais me confier à toi."
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Le propre de l'humain est qu'il est faible, qu'il doute, qu'il est sujet aux émotions. C'est ce qui fait sa beauté, mais c'est aussi ce qui peut le mener à sa perte. Jean-Marie Delthil éclaire ses expériences ordinaires par les lumières de la Bible, ce qui lui permet d'accéder à la sérénité. Avec son journal, il nous propose de suivre son itinéraire et, pourquoi pas, de le rejoindre sur le chemin de la foi. Bien que « L'Avion et le papillon » soit un ouvrage tourné vers la religion, c'est avant tout un livre sur la tolérance et un hymne à l'amour en général. À travers le récit de quelques mois de la vie de l'auteur, on apprend à redonner sa valeur au temps qui passe pour tirer un enrichissement spirituel des rencontres, petites ou grandes, qui peuplent notre quotidien.
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L'hormone de croissance humaine, le scandale inutile
Marie Frances
- Publibook
- 11 Juillet 2013
- 9782342009606
Dans les années 60, des enfants atteints de nanisme et condamnés à ne jamais grandir, commencent à être traités par l'hormone de croissance, alors extraite d'hypophyses humaines. Les résultats sont encourageants. L'espoir est alors immense pour eux et pour leurs parents. Beaucoup d'enfants grandiront, mais certains des lots de cette hormone ont été contaminés par le prion. À l'époque, celui-ci n'était pas encore identifié, et il était impossible de déceler cette contamination. Des enfants en seront les malheureuses victimes des années plus tard. Le scandale a été violent : depuis la première plainte déposée en 1991 jusqu'au procès de 2008, des médecins et des scientifiques ont été traités de criminels et traînés devant les tribunaux.
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« Je décide d'écrire, de lui écrire pour lui raconter, l'accuser, le remercier. Ce qu'il a provoqué est tellement... Moi qui n'ai jamais su choisir les bons mots, j'écris, je ne peux plus m'arrêter. Je réécris, je laisse ma vie glisser et ne pense plus qu'à ça, je ne fais plus que ça. C'est mon jardin secret, personne ne sait. Il faut que j'apprenne à apprivoiser ces émotions. J'aime les ressentir, j'aime cet état où l'on est grisé, où on se sent si fort, si beau, où la vie est pleine de promesses, où le futur est joyeux. J'écris pendant deux jours entiers avant de me rendre à l'évidence : il faut que j'aille au bout de ma démarche, il faut que je signe cette lettre, que je la termine. » Récit d'une adoration, « Tempête » dévoile avec sincérité, sans faux-semblant, les émotions - renversantes, déstabilisantes, passionnées - ressenties par une femme face à un chanteur qui semble littéralement la foudroyer... Et rien n'est paisible en matière d'adoration... mais bien plutôt dévorant, tumultueux, versatile, passant rapidement de l'euphorie à la désillusion, du fantasme à la réalité, ainsi que le véhicule l'écriture toute en saccades et tremblements de ce texte qui nous parle, en pointillés, de ferveur et de rapport obsédant à l'inaccessible.
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En 1961, le sirocco ne balaie pas que le sable mais la vie de nombreuses familles installées en Algérie française. Le rêve disparaît... La mère de Laurence a vingt ans lorsqu'elle quitte son pays natal pour la France. Si l'exil marquera les destins, l'histoire des pieds-noirs restera. Le passé ne doit pas obstruer le présent, mais doit aider à le construire... En revenant sur le parcours de sa mère à travers cette chronique aigre-douce, Laurence Fontaine Kerbellec n'a pas voulu raconter l'horreur de la guerre, mais l'histoire d'une petite fille regrettant son pays natal et son amie d'enfance. Chacun sera touché à sa façon, se remémorera le meilleur comme le pire, oscillant entre réconfort, nostalgie et amertume.
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Ce livre explore comment un lycée peut devenir un port d'attache indélébile.
Ce petit ouvrage reste en un sens un récit-témoignage de l'importance d'un lycée dans le devenir de chacun. Il est, en effet, des « bahuts » dont la marque s'imprime profondément dans l'esprit et le corps de celles et ceux qui en ont été élèves. Il est, au mieux et pour le meilleur, l'occasion d'apprendre vraiment à penser, d'y rencontrer des professeurs qui resteront longtemps dans la mémoire des élèves parce qu'ils ont été des références ou des repoussoirs. De même, ce sont des lieux où s'aventurent les premières amours durables et les amitiés naissantes, ainsi que certaines expériences dont nous ne sommes pas sûrs de tirer des enseignements...
Au pire, il restera pour certains un lieu fermé qu'ils ont hâte de quitter.
Pour ma part, « mon » lycée fut un ancrage, ou plutôt un petit port qui m'a éveillé à la culture générale et qui m'a permis de m'y abriter lorsque des tempêtes survenaient dans ma vie personnelle.
J'y suis revenu en tant que professeur et j'espère avoir été à la hauteur pour assurer cette transmission et cette exigence qui pourraient et devraient faire de chaque professeur un « passeur ». -
« Le mitrailleur est à son poste, les chauffeurs regardant en conduisant les bas-côtés où pourraient se cacher des bombes artisanales. La tension est palpable dans les véhicules, y compris dans mon 4x4. C'est avec un « ouf » de soulagement que nous sortons des gorges après avoir traversé la voie ferrée, fonçant vers Beni Mansour, un gros bourg avant Maillot. Et, naturellement, c'est là que cela se déclenche ! Plusieurs rafales de fusils-mitrailleurs et de P.M. en provenance des falaises de l'autre rive de l'oued, le pare-brise du 4x4 qui vole en éclat, des balles sifflant à nos oreilles. Une seule solution : foncer ! » Le putsch des généraux date de quinze jours lorsque le maréchal des logis-chef Dan Cordier est envoyé en Algérie. À Sétif, Maillot, Bougie ou encore Beni Messous, près d'Alger, il assistera souvent, en spectateur impuissant, à l'impensable. Des attentats aveugles de l'OAS aux représailles terribles de l'ALN sur les Harkis, l'Algérie française vit alors ses dernières heures. Restituant « cette ambiance de haine, d'incompréhension, et de tristesse », l'auteur relate le désespoir des pieds noirs et le désarroi d'une armée divisée et impuissante. Un témoignage amer, humain, saisissant.
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Zigzags d'un homme du monde ; chronique de voyages 1965-1994
Gilles Hanauer
- Publibook
- 17 Mars 2025
- 9782342048957
Trente ans de road trip. Un jeune voyageur découvre l'état du monde des années soixante à quatre-vingt-dix à travers des dizaines de pays qu'il parcourt tantôt en auto-stop, tantôt en bus, camions, trains : les pays de l'Est avant la chute de l'empire soviétique, la Chine à la mort de Mao, le Japon alors peu visité, les USA, pays des westerns de son enfance, la mythique Bali, paradis des seuls surfeurs, le Portugal et l'Espagne post-dictature et avant leurs intégrations dans l'Europe, la Turquie prémoderne, la Russie post-Gorbatchev sombrant en un État mafieux, le Pérou oublié, la Bolivie entre deux coups d'État, la Hongrie, encore meurtrie après sa révolte contre les Soviets... Gilles Hanauer ne se contente pas d'un récit alerte, parfois drôle, sur ses propres expériences ; il nous rappelle des faits d'histoire contemporaine souvent oubliés ou méconnus, mettant en perspective ce qu'il voit du quotidien. L'appel du large, l'auteur l'a connu dès dix-huit ans et cette frénésie de voyager et de comprendre le monde et ses cultures ne l'a jamais quitté. Que ce soit seul ou en famille ou pour raisons professionnelles, il n'a cessé de voyager durant cinquante-cinq ans dans le monde entier, avec une prédilection pour le Japon où il a séjourné plus d'une vingtaine de fois et où il a tissé des liens dans le milieu de la photographie. On avait déjà apprécié ses précédents ouvrages et notamment Trop zen pour toi, roman drôle qui se déroulait au Japon nous apprenant au passage tant de choses sur ce pays. On avait aimé la poésie un brin orientaliste de Tiède respiration d'automne et les savoureuses nouvelles de Récits proches. On avait été ravi de la férocité de N'apprends rien d'eux sinon tu vas mourir sur les moeurs en entreprise. C'est donc avec un plaisir renouvelé que l'on découvrira ces Zigzags d'un homme en train de s'ouvrir au monde.
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Emma-Frieda Tome 2 ; le bonheur sur les bords du lac
Charly Lascoux
- Publibook
- 17 Mars 2025
- 9782342154511
Après le secteur français de Berlin (1950-1953), puis la bourgade de Thones, au pied du plateau des Glières, en Haute-Savoie (1953-1958, Emma-Frieda tome I), Charly Lascoux nous relate, dans son second roman, la poursuite de l'intégration, sur les terres savoyardes, de sa mère allemande, épouse d'un gendarme français maintenant retraité. En ce début d'automne 1958, le couple, toujours uni, entre dans la vie active. Douze années se sont déjà écoulées depuis leur coup de foudre de Gundelfingen, près de Freiburg-im-Breisgau en juin 1946, et la traversée de moults épreuves. L'héroïne, séduite par la beauté du lac d'Annecy et de ses rives, choisira de vouloir vivre le nouveau tournant de sa vie dans la « Venise savoyarde » et de s'y installer définitivement pour ainsi espérer couler des jours heureux. Elle deviendra, avec tant d'autres habitants, un témoin de l'important essor de la ville, ainsi que de toute sa construction entreprise par une multitude de laborieux et vertueux émigrés, sous la houlette de belles personnalités locales, humanistes, visionnaires et soucieuses de progrès.
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Ce livre mémoire, mes mémoires, c'est l'histoire de ma vie. Un parcours atypique d'un personnage qui l'est tout autant. C'est une invitation à partager mes secrets les plus intimes, mais aussi à découvrir, phase après phase, la construction d'un enfant, puis d'un adolescent dans les années 1960. Ce témoignage vous conduira de Douarnenez au Mans. De Bernay à Lorient puis d'Auxerre à Porquerolles, du Havre à Dieppe et Rochefort, puis de Montluçon à Guingamp sans omettre quelques escales professionnelles. Ces mémoires, ponctués d'anecdotes, mènent son lecteur à partager...
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C'est avant tout l'histoire d'un amour atypique, improbable, presque impossible et ces sentiments vont traverser le temps, les obstacles, les fractures par-delà les incompréhensions, par-delà les infidélités, bien au-delà de la mort !
Aimer à la folie, c'est rare mais ça existe.
Par contre, aimer un homme qui semble venir d'une autre planète, c'est vraiment perdre tout repère. Il faudra sans cesse qu'elle fasse preuve d'imagination pour tenter de le rejoindre.
Il est dans une bulle transparente. Il regarde le monde comme on regarde un film. Il reste spectateur.
Alors, regarder le monde, pourquoi pas ? Mais elle, elle n'a pas envie d'être spectatrice. Elle veut vivre, vivre avec lui, au milieu des autres.
Ce récit est un voyage à travers la vie intérieure d'un homme qui entraîne la femme qu'il aime sur des chemins impraticables. -
Ce livre est une expérience mais surtout un témoignage puissant, sincère et authentique d'une mère envers son fils. Après deux précédents livres, une évidence s'est imposée, celle de poursuivre un travail de mémoire, une envie de poser des mots sur des maux, des maux souvent invisibles qui ont fait naître le doute, les pleurs, la colère, mais aussi et surtout l'espoir. Ce livre illustre le « parcours du combattant » d'une mère, son investissement, son engagement sans limites mais parsemé aussi de failles, son accompagnement scolaire sans relâche auprès de son fils et leur volonté commune de surmonter des difficultés insoupçonnées, seuls parfois, ensemble souvent. Oscillant entre la volonté et le découragement, entre l'espoir et le désespoir, entre la fierté et le doute parsemés d'angoisse...cette mère a tout donné pour que son fils ait la réussite qu'il mérite. Au-delà du vécu partagé, ce livre est un message d'espoir pour tous les parents qui doutent. En chacun d'eux se trouve pourtant une richesse de ressources incroyables. Nos enfants aussi ont des ressources et un vrai potentiel dès lors qu'on sait les observer, les écouter, les regarder, les aimer...pour ne jamais baisser les bras. Ils nous donnent la force et le courage de nous battre.
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« La mort dans l'âme, je quittai la maison. Mon sac me parut soudain infiniment lourd, le ciel me tombait sur la tête et je ne savais pas encore qu'à ce moment précis se jouait mon destin, contraint dès lors et pour toujours - irrémédiable sanction - à l'errance, aux lendemains incertains, avec un sac pour seul compagnon. Il fallait cependant continuer... Comment s'y prendre lorsque la terre semble se dérober sous vos pieds, lorsque votre propre mère accepte de vous laisser chasser par un ivrogne de mari, sans oser s'opposer à l'insupportable ? » Récit d'une existence à la marge, vécue dans la perpétuelle migration et la précarité, le texte de M. Monnier ne cède ni au pathos ni à la rancoeur. Sans fard, sans excès, presque en pesant chacun de ses mots, ce témoignage dit ce « jour-le-jour » du nomade, les petits emplois, les représentations en tant que cracheur de feu, les rencontres humaines et parfois salvatrices qui ont jalonné un parcours tous azimuts. Porté par une dignité et une franchise inébranlables, « Sur la route » dessine en creux le portrait d'un homme en paix avec lui-même, moins résigné que toujours capable de composer, avec courage, avec une trajectoire aux franges de la société.
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De la croyance à la perplexité ; itinéraire d'une agnostique
Anne Boulanger-pécout
- Publibook
- 13 Avril 2012
- 9782748383003
Concernant le vieux dilemme du croire ou ne pas croire, A. Boulanger-Pécout a trouvé, au fil de ses réflexions et interrogations, sa réponse à la question... Et l'essayiste de se définir ainsi comme une non-croyante agnostique. Pourtant, A. Boulanger-Pécout croyait et demeure encore aujourd'hui attachée à la personnalité de Jésus et à certains messages de l'Église. Alors comment en vient-on à ne plus croire, à dé-croire ? Qu'est-ce qui, dans la parole religieuse, au fil du temps, ne parvient plus à impressionner ou à y faire adhérer ? Et peut-on encore avoir une vie spirituelle sans appartenir à aucune religion ? Retour, sans provocation aucune, sans volonté de heurter, sur une trajectoire à rebours, sur une conversion à l'envers, sur un chemin qui mène, entre croyance et athéisme, à l'agnosticisme. Si le ton de cet ouvrage demeure assuré, il n'en conserve pas moins respect et même une certaine forme d'admiration pour celles et ceux qui ont la foi. S'adressant aussi bien aux fidèles qu'à ceux qui se situent dans le doute, dialoguant avec toutes les facettes de l'âme, qu'elle soit croyante, athée, hésitante, cet essai fournit une belle interrogation sur ce tropisme proprement humain qu'est la recherche de ce qui lui est caché et divin, transcendant et supérieur.
SITE de l'auteur : http://anne-boulanger-pecout.publibook.com/
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" J'ai assisté dans l'après-midi à l'inauguration du salon international du livre de Paris par Emmanuel Macron, le Président de la République Française, en compagnie de la ministre de la culture et de ses collaborateurs. J'ai vécu cela en direct. A voir le monde qui était venu et la ferveur qu'il y avait, j'ai compris que le livre, l'écriture et la lecture, bref la langue française était un État dans l'État. " Soulaimana Noussoura découvre le monde du livre, une planète si vaste, qui lui était jusque-là inconnue. Natif de Mayotte et préoccupé pour l'avenir de son île, c'est en explorateur littéraire que le jeune écrivain se rendra d'abord au Salon international du livre de Paris. Il y fera de belles rencontres et donnera une certaine visibilité à son île à travers la diffusion de son tout premier ouvrage. Puis, en plein mouvement de grève contre l'insécurité et l'immigration à Mayotte, Noussoura Soulaimana est retourné auprès des siens, deux semaines, avant de repartir pour le salon du livre de Québec. Ville qui lui réchauffera le coeur malgré ses températures très froides. Lui qui était en quête d'évasion, désireux de visiter l'Inde ou encore le Brésil, ne sera pas déçu du voyage...
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Odyssée champêtre ; souvenirs épars d'un écolier étourdi
Jean-Paul Alain
- Publibook
- Mon Petit Éditeur
- 11 Mai 2012
- 9782748383805
L'auteur part d'un fait banal. Un jeune écolier refuse d'aller à l'école pour rester avec ses camarades de quartier qui ne sont pas scolarisés. Il invente des excuses pour se justifier auprès de ses parents dubitatifs... Las de devoir toujours imaginer une raison pour rester à la maison, il choisit la facilité, c'est-à-dire faire l'école buissonnière, une épopée qui va le conduire en maints endroits, de planque en planque, au péril de sa vie. Un jour, son père découvre ses manigances, contenant sa colère, il va le remettre dans le droit chemin sans jamais hausser le ton, à sa manière... Une leçon que le fils n'oubliera jamais.
En marge de cette intrigue haute en couleur, l'auteur relate d'autres souvenirs qui l'ont marqué au cours de son adolescence, dans un style enjoué et teinté d'humour qui vous transporte dans un univers coloré aux parfums envoûtants, là-bas, plus loin que là-bas, sur son île natale, aux confins de l'univers...
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Je reprends le travail ce début de septembre avec beaucoup de surprise. À mon grand étonnement, ma compagnie d'assurance ne reconduit pas mon contrat pour motif de sinistre grave ayant causé la destruction partielle de l'immeuble et entraîné le décès d'une personne. Dans le langage courant des compagnies d'assurance, je suis une personne à risque car d'après eux j'ai ce qu'on appelle la poisse. C'est le mot exact utilisé par les professionnels du secteur. "Ce qui est un comble pour quelqu'un dont le nom en arabe signifie la chance". Il y a de quoi être en colère surtout lorsque je pense que ma responsabilité n'est en rien engagée. Le poisseux chez les assureurs est considéré comme un malade contagieux, indésirable, qu'il faut écarter. ! Ce nouvel événement va me plonger à nouveau dans la déprime. C'est bien entendu le premier, le deuxième, le troisième, le énième verre de bière que je bois. C'est la lâcheté et la faiblesse. Au lieu de me ressaisir et faire face aux aléas de la vie, je me perds. Où sont le courage et la lucidité ? Je ne suis qu'un pusillanime qui se cache derrière son verre. Quel exemple suis-je pour ma femme, mes enfants, mes parents et mes amis ? La grandeur d'un homme se mesure à sa capacité à résister et à sa volonté de changer une situation en sa faveur. Je suis le contraire de tout ça. Un heureux événement comme un mauvais sont des prétextes pour boire. La facilité pour se justifier. Un acte irresponsable.