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Persee
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Cet ouvrage autobiographique se veut, à travers le récit d'une vie pas toujours facile, une critique de la vie moderne, des années cinquante collant à l'actualité. L'auteur y brosse, entre réalisme et satire, le portrait de notre société matérialiste et inféodée à l'argent. Une société dont les valeurs devraient impérativement être remises en cause. Dans un monde où « l'homme est un loup pour l'homme », que deviennent les notions d'équité, de respect de l'autre?? Qu'en est-il des sentiments?? Les anecdotes qui foisonnent n'illustrent que trop bien ce mal-être des temps modernes, dans lequel chacun pourra un peu se reconnaître.
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De nos jours, l'Arabe n'est plus à l'image glorieuse de ses ancêtres. Il n'invente plus rien. Il ne crée plus grand-chose. Certes, la politique à parti unique et sans concession ne l'a pas aidé à avancer. Plus grave encore, devant l'impasse du despotisme des gouvernements et la montée envahissante des extrémistes religieux, l'homme de la rue arabe commence à perdre ses repères. Il ne sait plus exactement ce qu'il représente, d'où il vient, où il va et ce qu'il va devenir.
Un musulman est-il forcément arabe et, un Arabe est-il toujours musulman ? Peut-on être un bon musulman sans connaître ou comprendre la langue arabe, celle du Coran ?
On parle de plus en plus de l'islamiste et du terroriste mais de moins en moins du musulman ou de l'Arabe, avec un amalgame et une confusion accablante et fort regrettable, entre Arabe, musulman, islamiste, intégriste, extrémiste et terroriste.
Comment en est-on arrivé là ? L'Arabe (avec un grand A, marque de ses ancêtres) est-il devenu de plus en plus arabe (avec un petit a) ?
Après le réveil de l'homme de la rue depuis ces événements de la fin de l'année 2010, on peut espérer et croire que le plancher est atteint et que le petit «a» n'ira pas plus bas.
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«?Que c'est difficile d'aborder la jeune fille dont vous rêvez comme unique partenaire. Le coeur battant à tout rompre, vous craignez de commettre un impair et d'être remballé d'un ton sec et définitif.
Si je m'abstiens et quitte le bal, je ne pourrais plus regarder dans un miroir le sacré couard que je serai devenu.
Elle tourne la tête, me voit, geste de recul, de surprise, puis tout de suite me sourit et toutes mes appréhensions disparaissent.
Lançons-nous, improvisons ! Pas possible, les mots me viennent aisément.
- Mademoiselle...
Ses yeux qui brillent sont une invite à continuer sans désemparer, rassuré, sans aucune difficulté, je continue ma demande.
- Puis-je vous inviter pour la prochaine danse ?
Je n'en reviens pas, elle ne m'éconduit pas, bien au contraire :
- Bien sûr, monsieur !
Cette réponse prononcée si gentiment, avec une telle douceur, me ravit, me comble de joie.?».
À partir de faits authentiques, vous voyagerez dans le temps, vous suivrez les péripéties du petit enfant jusqu'à son âge d'homme mûr, le tout en respectant l'évolution de son langage, de ses impressions et de ses sentiments.
Ce livre se veut un écrin de fraîcheur, de détente, de bonheur et d'émotions.
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"Écoute ton coeur, toujours. Fais-le briller, fais-le vibrer... La vie est belle ! Elle n'a d'éclat que si l'on puise à sa Source, l'Amour, et n'a d'autre loi que la liberté de l'écouter... Thésaurise sur les valeurs du coeur, c'est un placement pour l'éternité." Une vieille femme juive prend la plume durant la dernière année de sa vie et confie, au fil des jours, ses émotions et son regard sur la vie, à travers le récit de son passé de pianiste, son enfance volée pendant la deuxième guerre mondiale et ses amours... Un testament écrit en mosaïque : morceaux d'émotions, d'instantanés distillés à la lumière du coeur !
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Que ne vous ai-je écouté ! ; mémoires de Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes
Luc Rentmeesters
- Persee
- 17 Octobre 2016
- 9782823116427
Où l'intelligence, la vertu et la bonne volonté sont broyées par la surdité royale d'abord, ensuite par la fureur aveuglément haineuse de la Terreur.
Illustre magistrat du xviiie siècle, Malesherbes a consacré sa vie à la défense des droits du peuple contre les dérives arbitraires et despotiques du régime monarchique sous Louis XV.
Grâce à son esprit ouvert et humaniste, les lumières des savants, philosophes et écrivains de France ont pu illuminer le monde.
À la demande de Louis XVI, Malesherbes a fait deux brèves incursions dans le monde politique dont, trop intègre, il s'est rapidement éloigné.
Il connut l'exil, les retraites, la douceur de la vie familiale et de l'amitié, l'enrichissement des voyages ; il étudia passionnément la botanique, les dissensions religieuses, les régimes et les institutions politiques.
Fidèle à son inaltérable et héréditaire sens de la justice, il fut volontaire, avec un courage inouï, pour être l'un des défenseurs de Louis XVI lors du procès de ce dernier.
Cette vie exemplaire connut une fin tragique et cruellement injuste : il fut décapité après avoir été obligé d'assister à l'exécution des siens.
Malesherbes nous livre ici le tragique effondrement de l'oeuvre de toute sa vie. Ses Mémoires sont écrits dans l'amertume et la douleur.
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Nourrir son errance, au rythme d'un temps qui semble suspendu... La lumière pour horloge, découvrir la cadence d'une séquence de vie à la campagne. Écouter pour palper le sensible pour entrer en communication avec l'espace, son son et sa texture. Plus j'appréhende mon espace, plus l'émotion devient palpable : elle prend la forme d'un mot. Quel bonheur de voir l'image faire le lien avec le mot... Farida Bouâchraoui est Professeur de linguistique à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l'Université ibn Zohr à Agadir au Maroc. Elle est aussi auteur photographe. Pour Promouvoir la Culture et la pratique Artistique dans le milieu Universitaire, elle enseigne aussi la photographie. Nous citons principalement sa création du projet photographique Mois de la photo. Elle a organisé plusieurs expositions individuelles au Maroc et en France, elle a aussi participé à plusieurs expositions collectives au Maroc, en France et au Qatar. Ses Photos ont fait l'objet de publications dans des revues, magazines et journaux marocains et aussi comme couverture de livres. Auteur de plusieurs reportages photographiques pour la réalisation de catalogues photos et brochures touristiques. Plusieurs communications dans des colloques, journées d'études et plusieurs publications. Elle a été primée dans des concours à l'échelle nationale et internationale. Elle est l'auteur du catalogue photos Emotions Amazighes : Regards sur la Femme de l'Anti-Atlas, édité en 2008.
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« J'ai passé ma vie à éviter d'être nommé. Mais si les gens veulent me nommer, y a pas de problème?! C'est leur affaire. Pour moi, je suis d'abord un individu, et puis... et puis, je vis ma vie?! Et puis... dans cette vie-là, on est nommé tout le temps... à tous les secteurs, à tous les carrefours... si on vit en province, on est un provincial. Si on vit à Port-au-Prince, si on vient de tel quartier... enfin on est nommé... Si on arrive à Montréal, on est un immigrant... Si on arrive en Haïti, on est une diaspora (jaspora)... Si on est un écrivain, on n'est pas quelqu'un qui écrit... on est un écrivain haïtien, on est un écrivain immigrant, ou un écrivain noir, ou un écrivain exilé... donc y a toujours des dénominations?!
[...] Moi, je suis obsédé par l'idée d'« individu ». Parce que je viens d'une culture du « nous », je suis obsédé par le « je », par l'appropriation du « je »?; sortir de ce « nous » collectif, prendre des décisions personnelles et non de race, et non de nationalité, et non de classe sociale. » Dany Laferrière
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Je suis née en Guadeloupe en 1959, à une période où la femme indienne n'était encore considérée que comme une bonne à tout faire, corvéable du matin au soir. Ma mère m'abandonna à mon père à deux mois et demi ; mon père alcoolique, incapable de m'élever, me laissa à son tour à mes grands-parents à quatre mois. Ils me méprisaient et, à leurs côtés, j'ai connu la faim, le froid, la honte, la douleur et aussi... les baptêmes de poupées : une variante de la dînette, un jeu que les garçons de 10 à 15 ans partageaient avec les petites filles. En se déclarant parrains d'une poupée de chiffon, ils abusaient des fillettes... jusqu'au viol.
Entre Métropole et Guadeloupe, entre l'amour de mes fils et les sursauts de mémoire, il a quand même fallu me construire, me souvenir pour mieux oublier...
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À travers un rêve de M'quidech, l'inconscient d'un homme marqué par la pauvreté de sa famille, par le sous-développement de son pays, se dévoile et nous entraîne jusqu'au village des anges ; il rencontre Lalla Kahina, une compatriote africaine arrachée à un monde proche du sien, pénible et triste, et suit son itinéraire d'immigrée clandestine vers le « paradis » européen. Cette Europe qui lui a volé son mari et les jeunes de son village, Lalla décide de s'y rendre à son tour, pour fuir sa condition de femme à marier. Pour gagner sa place dans la barque de la mort et rejoindre le continent espéré, Lalla vend son corps. Sur la patera, elle croise d'autres « damnées de la terre », qui lui font part des malheurs et misères qui jonchent leur traversée du désert, avant de se trouver ensemble pour affronter le même destin. Rêve ou réalité ? Mohamed Chourak, diplômé en économie internationale en 1984 a exercé plusieurs métiers avant de rejoindre l'Administration en 1997.
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L'enfant soldat & le long calvaire d'un enfant abandonné
Michel Mumaka mabaya
- Persee
- 1 Juillet 2013
- 9782823104066
Les enfants soldats fourmillent dans certains coins du monde, là où les droits de l'enfant sont systématiquement bafoués. Corvéables à merci, ils sont utilisés comme des bêtes de somme, au mépris de toute considération humaine. Si certains enfants, poussés par la misère ou abandonnés de leurs parents, se laissent naïvement enrôler, d'autres en revanche deviennent enfants soldats par force. Continuellement drogués, ces enfants qui sont ni plus ni moins que des esclaves, sont utilisés dans des guerres civiles, notamment comme porteurs, objets sexuels, boucliers humains, démineurs, éclaireurs, kamikazes, espions et j'en passe...
La vie d'un enfant soldat est un véritable enfer, comme celle racontée dans ce livre, celle vécue par le petit Joël et ses camarades.
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Après 27 ans passés dans l'une des plus grandes administrations françaises, Bibifree a tiré sa révérence, déçue et nettement moins enthousiaste qu'à ses débuts.
L'investissement ne paie pas (du moins, en termes de satisfaction professionnelle).
La motivation a laissé place au désenchantement.
L'Administration n'encourage pas les initiatives et démotive les meilleures volontés du monde.
L'ambiance n'est pas toujours à la fête, même si ce parcours est jalonné de beaux voyages et de découvertes très intéressantes.
Les relations, les clans, les petites guerres internes, les intérêts personnels ressortent systématiquement.
Tout ça finit par lasser... pour ne pas dire dégoûter.
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Fin du XIXe siècle, au sein du village de Fustialvos, une discorde divisa deux factions des années durant. Un mariage entre une très jeune fille et un homme âgé - qui aurait dû jouer le rôle de médiateur pour le compte de son neveu - fut à l'origine de l'événement. Ce dernier ne put jamais se résigner et osa importuner l'épouse de son oncle, provoquant une jalousie telle qu'il finit par être assassiné. De là s'enchaînèrent haines et sanglante vendetta avec d'autres homicides, attentats, procès et condamnations.
La mémoire populaire a transmis, autour de l'âtre, la mémoire d'un audacieux en cavale ayant juré de se venger. Au fil conducteur d'une histoire romancée - dont l'une des victimes fut le propre arrière grand-père de l'auteur - s'ajoutent la trame des événements politiques, le coloris des us et coutumes qui scandaient alors le temps et les saisons, ainsi que les difficiles conditions de vie à cette époque.
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Il a emporté son sac, un chariot, des bâtons de marche et une grosse provision d´entrain, de gaieté et de bonne humeur. Il a également pris avec lui Magnificat, pour l´aider à prier et à méditer, et sa foi en la Providence. Et il est parti pour quatorze jours de marche en solitaire. Point de départ : la Cathédrale de Rouen, fleuron de la ville. Point d´arrivée : l´Abbaye du Mont- Saint-Michel. Trois cent trente kilomètres durant lesquels André Nestasio a remercié « son Seigneur » pour toutes les grâces reçues durant sa vie et durant ses quarante années de mariage avec Odile. Voici le récit du pèlerinage, pas seulement spirituel, d´un homme atypique qui comptait sur lui-même et sur ses rencontres pour se divertir, et qui a nourri sa curiosité de tous les spectacles qui lui furent offerts en chemin.
Lauréat de l´Académie des Arts-Sciences et Lettres de Paris, André Nestasio, 64 ans, grand-père, est un homme aux multiples activités professionnelles, familiales et associatives. Il signe ce troisième ouvrage, préfacé par Monseigneur Descubes, Archevêque de Rouen et Primat de Normandie ; un récit dont l´engagement sans langue de bois témoigne d´un oecuménisme et d´un humanisme toujours parsemé d´anecdotes croustillantes, alors que pendant deux semaines il fit partie des gens de passage, des gens de nulle part, des gens du vent.
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« L'Ami Mohamed... » Oh ! C'est toute une histoire vraie... sur un tas d' « histoires » aussi vraies...
Les unes que les autres qui font l'Histoire de sa vie dans les cités. Vous voyez ? Peut-être, ou peut- être pas, ou pas du tout. « L'Ami Mohamed... » vous raconte tout ! Tout sur lui et sur sa vie de cité.
Ses joies (peu), ses peines (beaucoup), son désir d'avenir (immense !). Un SOS de l'ami Mohamed ? Oui ! Alors je lui tends la main. Celle qui est amicale, hein !? En lui disant ceci : « Écoute mon ami, te connaissant très bien, je t'offre un cadeau original plein de bonnes choses. Tu sais quoi ? La réforme de ta cité ! Si, si ! Comme personne ne te le proposera. Du cousu main, du sur- mesure, du jamais vu, de l'inédit, il fallait y penser. Mohamed, si demain tu cafardes... Prends ton Coran et « L'Ami Mohamed... » avec toi. Installe-toi bien. Ce que tu liras n'est pas du rêve, mais bien une réalité de demain ! Tu seras séduit et tenté de... ? Alors fonce à fond la caisse, tu as tout compris ! » Si tu me dis : « Et le Gaulois dans tout ça ? » Je te dis : « T'occupe pas ! Il suivra ! »
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Est-ce que j'aurais imaginé un jour exister réellement?? Derrière ces mots, il y a tant de questions à se poser. À chacun sa part de vérité. Personnellement, même si je me suis toujours posé beaucoup de questions sur ma vie, les autres, ma place dans ce monde, je ne pensais pas un jour parvenir à dépasser ce sentiment de ne pas exister ou tout simplement la peur d'exister. Dans les relations humaines, les échanges deviennent le plus souvent des attentes.
Exister vraiment ne se réalise pas dans la futilité bien sûr mais alors s'engage une quête difficile ou l'autre, le miroir, risque de ne jamais vous renvoyer ce message d'existence et qu'il faut alors s'en passer, trouver son propre miroir, la difficulté sera de ne pas tomber dans le narcissisme et de ne pas ignorer l'existence des autres.
Mon histoire s'inscrit certainement dans cette démonstration. La vie, l'amour, l'amitié, les autres, l'existence, autant de sujets qui pour moi ont pris un sens beaucoup plus profond. Dans la douleur, soit on sombre, soit on rebondit
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Fancsico Ordonez a vécu une vie hors du commun. Après avoir passé son enfance à Melilla, enclave espagnole au nord du Maroc, il s'en ira comme volontaire dans la marine de guerre espagnole.
Après avoir risqué plusieurs fois sa vie sur des embarcations à la limite du navigable et un naufrage au large de Lisbonne, il quittera à contrecoeur la marine, véritable passion de sa vie, en bravant les dangers de la traversée du désert pour une existence en Algérie, l'eldorado des années cinquante. Il vivra des aventures tantôt drôles et tantôt dramatiques avec des personnages aux caractères très singuliers. Il quittera Alger en 1961 non sans avoir une fois de plus échappé à la mort dans des circonstances incroyables, quelques heures avant son départ pour la Suisse.
Ce livre vous fera découvrir une vie palpitante, pleine de rebondissements, où il a fallu faire preuve de courage mais aussi de réalisme, d'audace et de ruse pour résoudre les problèmes les plus divers, qui démontrent que dans la vie, la chance sourit souvent aux audacieux, sans oublier une touche de surnaturel...
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Ah ! Le mariage ! Celui des autres fourmille d'anecdotes croustillantes, drôles, tendres ou cruelles, plus craquantes les unes que les autres, qu'il s'agisse de couples anonymes ou de personnalités célèbres telles que Marilyn Monroe, Madonna, Virginia Woolf, Sophie Tolstoï, Agatha Christie, Nathalie Clifford Barney, Consuelo de Saint-Exupery, Leonida Grande Duchesse de Russie, Soeur Emmanuelle...
L'occasion est trop belle pour l'auteur de vous faire partager ses découvertes d'un pays à un autre, d'une idylle à une autre. À ce livre décalé, on a envie de dire OUI !
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L'auteure a deux ans quand commence la seconde guerre mondiale. Son enfance est marquée par des événements violents suivis d'une scolarité difficile qui lui fera croire qu'elle n'est pas intelligente.
Pour faire mentir l'évidence, à force de volonté, elle tentera d'atteindre le but qu'elle s'est fixé : devenir infirmière diplômée d'État.
Au cours de ces années, elle trouvera l'aide de sa grand-mère et de femmes généreuses.
Plus tard, elle sera victime de la cruauté et du racisme, et en restera marquée pour toujours.
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La prérentrée ! C'est essentiel pour se faire une idée du mode de vie de toutes les familles de vertébrés qui ont déjà usé ces murs. Il y a tout d'abord la tradition de l'emploi du temps de Monsieur X ; c'est un chef-d'oeuvre de gruyère à trous et il s'adresse à celui qui justement n'était pas là pour le concocter au mois de Juin. Monsieur X, c'est moi. Comme quoi, on m'attendait quand même ! Le monde surprotégé des enseignants n'est pas épargné dans ce Carnet de prof rédigé à l'image d'un itinéraire professionnel en recherche de sens, d'éthique et de cohérence. Des fondements de l'univers scolaire ébranlés depuis Mai 68 aux exigences légitimes mais souvent blâmées des parents, Jean-René Menesplier revient sur son parcours dans l'Éducation nationale depuis les années soixante-dix.
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Chroniques d'un ailleurs pas si lointain ; réflexions d'un humanitaire en gagé
Herve Cheuzeville
- Persee
- 26 Novembre 2010
- 9782352167594
Hervé Cheuzeville a sillonné l'Afrique au cours de nombreuses missions humanitaires. S'il a apprécié les beautés du Mala?i et du Lesotho, il a été aussi le témoin d'épisodes dramatiques en République démocratique du Congo, en Ouganda, au Rwanda et au Sud-Soudan.
Égrenées au fil du temps, de 2007 à 2009, ces chroniques analysent des évènements tantôt mis en lumière par une actualité brûlante, tantôt passés inaperçus?: les difficultés de Malte face à l'immigration clandestine, l'oppression de la Chine au Xinjiang et au Tibet, la difficile recherche de la paix au Moyen Orient, en Somalie, au Soudan ou au Sahara Occidental.
Elles soulignent aussi les efforts accomplis par certains pays pour lutter contre des fléaux tels que les famines récurrentes, le SIDA ou les luttes intestines qui ne sont pas toujours des fatalités?!
Passionné d'histoire, l'auteur révèle la genèse des conflits qui perdurent de nos jours. Il rappelle en outre des figures oubliées?: John Chilembwe, le père Siméon Lourdel, le commandant Marchand, et bien d'autres. Dictées par l'actualité, des rencontres enrichissantes ou des événements inattendus, ces chroniques invitent à mieux comprendre le monde actuel.
Hervé Cheuzeville est l'auteur de Kadogo, Enfants des guerres en Afrique Centrale (Ed. de l'Harmattan, 2003) et Chroniques Africaines de guerres et d'espérance (Ed. Persée, 2006).
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Après son premier ouvrage Docteur aidez-moi l'auteur poursuit la narration et décrit le long chemin semé d'embûches qui mène de Pierre, petit campagnard timide, au Docteur Jean-Pierre Laugel qui tente d'aider bien des patients à vivre, survivre ou parfois à guérir...
L'espace d'un volume, on passe de l'ancien temps au modernisme et l'auteur nous donne plaisir à associer toutes les composantes matérielles et morales de cette société en devenir, par un pas de géant du XIXe au XXIe siècle franchi parfois avec hésitation ou au contraire avec enthousiasme. Ce roman de la vie, enrichit autant qu'il apprend, éveille autant qu'il fait réfléchir, apaise autant que parfois console, préfère le clin d'oeil, le sourire au franc éclat de rire, sans cependant jamais être triste...
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En quoi croyez-vous ?
Moi, je ne crois pas en grand-chose car pour moi, croire, c'est d'abord croire en moi. C'est la portée de l'histoire que je vais vous raconter qui importe.
Je suis une jeune fille de quinze ans, tout à fait ordinaire. Et comme toute histoire, la mienne, sans élément perturbateur, n'aurait pas été crédible. Eh ! bien, pour moi, du jour au lendemain, ce que je croyais irréel devint réalité. Mes repères volèrent en éclats et la vision que je m'étais faite du monde et de la vie s'effondra.
Qui croit encore aujourd'hui aux sirènes, ces figures mythiques qui ont bercé notre enfance ? Moi, j'en suis un exemple vivant.
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Ancienne élève en difficulté, Sabine Dernelle, aujourd'hui mère de famille et en lien avec les enfants de par sa fonction professionnelle, nourrit une réflexion approfondie sur l'actuel système scolaire. Trop souvent apparentée à un parcours du combattant, l'école est habitée de pleurs, de cris, d'angoisses, d'insolence, d'apathie, de je-m'en-foutisme à tous les niveaux : des enfants aux parents, des professeurs aux directeurs.
Son premier ouvrage, La porte sur un autre monde, se veut une analyse réaliste et une reconsidération constructive d'un enjeu crucial de notre société : l'apprentissage scolaire. Elle nous invite à partager une idée folle, un rêve : une nouvelle école pleine de vie, de joie, d'espoir, de respect et de fierté. Et si on reprenait goût à l'école ?
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En Colombie, sur les traces du Conquistador Bartolomé de Aníbal Paleólogo, c'est par le rire que Daniel Salleron communique avec les Indiens Yucos au coeur de la forêt vierge.
Une conversation va changer le cours de sa vie... Aller chercher des plans de poivre au Brésil et permettre enfin au Pérou de le cultiver... Après quelques sueurs froides et une fois la mission accomplie, il s'improvise planteur dans la forêt de Tingo Maria.
Les récits de cet étudiant français qui quitte la France en 1954 sur un coup de tête interpellent le lecteur?: les trafiquants de cocaïne, le Sentier Lumineux, l'endoctrinement des plus pauvres par des enseignants...
Au travers d'histoires vivantes, drôles et vécues, on y comprend les bases de la culture, de la société et la politique sur lesquelles s'est construite l'Amérique du Sud d'aujourd'hui.