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Gascogne
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Dernier fils d'Aliénor d'Aquitaine et Henri II Plantagenêt, Jean sans Terre n'aurait jamais dû régner ni posséder de terres.
Pourtant le destin va se charger de bouleverser le cours des événements.
En ce 12e siècle, devenu Roi d'Angleterre, duc de Normandie, duc d'Aquitaine et de Gascogne, puis comte de Poitou en 1199, à l'âge de 32 ans, Jean sans Terre va très vite faire preuve d'une autorité démesurée.
Compensant un complexe d'infériorité par une cruauté sans pareille, Jean sans Terre lutte contre ses failles en témoignant d'un comportement autoritaire voire sadique lorsqu'il juge que la situation l'exige.
Même s'il ne songe qu'à la grandeur de l'Angleterre et à l'Empire Plantagenêt, Jean sans Terre ne fait pas le poids face à un adversaire redoutable comme Philippe Auguste, décidé à demeure le Roi de France qui agrandit son royaume.
Pourtant Jean sans Terre va s'efforcer de tirer son héritage vers le haut, même si le destin va contrarier toutes ses ambitions. Décidé à lutter contre ses barons qui exigent plus de libertés, Jean sans Terre trouve un soutien, pour le moins insolite, auprès du pape Innocent III, de qui il devient le vassal en lui résignant l'Angleterre, ce qui lui permettre de rester au pouvoir jusqu'à sa mort, en 1216.
2016 fête le 850° anniversaire de la naissance mais aussi le 800° anniversaire de la mort de Jean sans Terre.
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Tôt le matin, quand le soleil ne brûle pas encore le sable du « Coso del Pino » et que l'air salé du Guadalquivir rafraîchit les corps, ils s'entraînent ensemble : humbles et glorieux ils ne ménagent pas leurs peines. Chacun pousse le carretón pour l'autre, indifférent à son rang. Là se forgent les destins : ceux qui déchargeront les caisses de poissons au port de Bonanza ou qui défileront à la Maestranza.
Au milieu du ruedo, Emilio, avec humilité, éternellement dessine la même véronique, le torse luisant de sueur. Comme ses amis, ses frères de Sanlúcar de Barrameda, il vivait lui aussi dans le dénuement et la solitude, anonyme et sans perspective, mais habité par la foi en lui-même. Comment a-t-il brisé le mur de l'indifférence ? Pourquoi lui et pas les autres ? Quelles furent les épreuves qu'il dut traverser pour s'extraire du « montón » où tant finissent ? Quelles mains secourables se sont tendues ? Quels ont été ces moments de doutes et de souffrances ? Quel a été le rôle de la France dans son ascension ? Et que sera demain pour Emilio ?
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S'avancer sur les territoires de Nicolas, c'est une aventure à contre-courant. On quitte les chemins balisés, les comportements prévisibles, la tiédeur de la raison. On entre comme dans une réserve d'indiens, où les sorciers sont des docteurs, où les squaws ont des coiffes d'infirmières, où les terres à bisons ont laissé place à des terrains de rugby et les montagnes du Dakota à des coteaux gascons.
Le guerrier Nico n'a pas de tatouages, mais un post-it « Combat »dans ses chambres. Son cheval est de fer et il voyage presque immobile vers des horizons qu'il veut patiemment dessiner dans une langue travaillée façon Claude Nougaro, qui disait à propos des mots : » Je les frotte comme des cailloux, pour en faire une petite étincelle ».
Mettons nos mains au-dessus du feu de douleurs et d'espoirs allumé par Nicolas. Nous y croiserons des silhouettes célèbres, des visages humbles et serons portés vers les sillons fertiles de ses projets.
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«Maire, député, conseiller général et régional, président de l'Aviron Bayonnais, Jean Grenet a incarné Bayonne durant de nombreuses années.
Parmi ses responsabilités, il y en a une qui lui tint particulièrement à coeur : la gestion des arènes de Bayonne. Ce ne fut pas une tâche facile car sous son mandat il fallut changer les habitudes, transformer les fonctionnements, opérer des travaux coûteux pour améliorer le confort de Lachepaillet. Fidèle à sa ligne, à la défense de la corrida dans sa ville, malgré les difficultés, Jean Grenet n'a pas reculé. Il a ainsi assuré la pérennité des arènes de Bayonne. Il fut aussi longtemps le président de l'Union des villes Taurines de France et joua à l'Assemblée Nationale un rôle important pour la défense de la corrida souvent attaquée de manière arbitraire.
Son expérience est précieuse pour l'avenir d'une activité qui reste précaire.
Désormais retiré, Jean Grenet n'intervient plus dans la vie publique bayonnaise. Il a choisi le silence même si, parfois, il n'en pense pas moins.
Dans ce livre, il fait le point sur son action en faveur de la corrida. Il fait aussi le bilan de son travail à la tête de SA ville, Bayonne. Enfin, il nous livre les secrets de sa nouvelle vie. Une vie tournée désormais sur des joies simples, sans regrets ni amertume, ouverte vers d'autres horizons. Des réflexions emplies de sagesse, de tendresse aussi pour la cité de son coeur.
Une voix sereine qu'il faut entendre.
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Patrick Varin a une place à part dans la galaxie des toreros français. C'est une étoile à la fois lointaine et lumineuse dont le nom évoque des souvenirs forts mais qui n'a jamais quitté l'actualité de cet univers bril- lant. Patrick fait partie des pionniers et avec eux il a vécu mille aventures romanesques. Mais il est différent des autres par son milieu d'origine, la banlieue lyonnaise, et surtout par la ligne qu'il adopte d'emblée : deve- nir un « torero artiste » comme on dit dans le milieu. Cette dimension artistique du torero, il l'a toujours assumée, portée, communiquée dans et hors de l'arène. En ce sens c'est un être précieux et unique, à part d'un milieu dont il est solidaire. C'est cette aventure intime de Patrick, ce choix de vie original, que nous fait découvrir Yves Lebas, un de ses proches, président de l'Ecole Taurine du Pays d'Arles, auteur de plusieurs ouvrages. Un livre qui lève le voile sur un des toreros qui a le plus compté dans l'histoire de la tau- romachie française, un être sensible et secret. Un homme attachant, qui transmet désormais son expérience unique aux générations montantes.
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Conchita Cintrón est née au Chili le 9 août 1922 d'un père portoricain et d'une mère américano-irlandaise.
Ce mélange des cultures fera d'elle une enfant rebelle qui, élevée au Pérou (sa patrie de coeur) découvrira sa passion pour l'équitation qui la conduira à être torero à cheval (rejoneadora) et par la suite à pied.
Enorme frustration, le régime franquiste interdit aux femmes de mettre pied à terre ! Mais elle réussit à s'émanciper de tous les interdits pour s'imposer dans un milieu typiquement masculin.
En cela, Conchita Cintrón restera dans l'Histoire comme une femme intemporelle, résolument moderne et universelle.
Après avoir fait la Une de tous les medias, elle s'adonnera à des activités plus paisibles qui se solderont encore par de nombreuses réussites.
La mort viendra la surprendre à l'aube du 17 février 2009. Puisqu'il paraît que les Dieux et les Déesses sont immortels, Conchita Cintrón restera à jamais dans nos coeurs.
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Il a toujours eu le « duende », cette grâce innée des artistes qui provoque l'émotion la plus profonde, le olé le plus rauque, celui qui sort des tripes. On lui avait prédit une ascension fulgurante après s'être illustré comme l'un des novilleros les plus talentueux de ces derniers lustres. Mais la conquête s'est faite plus lentement, la fougue initiale a été canalisée et le torero a atteint petit à petit la maestria.
La beauté de sa gestuelle s'est épurée et le décryptage de la construction de ses faenas est un régal pour l'aficionado. Alliant art et technique, Daniel Luque est devenu un virtuose qui crée avec une facilité apparente. Jeune et ambitieux, il a déjà triomphé dans les plus grandes arènes de la planète taurine mais il tient à marquer son époque.
Nous l'avons rencontré hors-saison pour qu'il nous confie ses rêves et secrets, ce qui le porte et ce qui l'a fait douter. Il est probablement l'un des matadors les plus armés pour prendre la relève des grands toreros qui devraient quitter bientôt l'arène.
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Richard Millian ; l'honneur d'être torero
Jean-michel Dussol
- Gascogne
- La Verdad
- 24 Août 2017
- 9782366661033
Richard Milian restera, longtemps encore, un personnage atypique de la tauromachie française... Il n'est que le treizième matador de l'histoire et arrive à un moment où il est de bon ton de professer un racisme social envers les toreros français. C'est une période où on leur refuse régulièrement l'entrée des arènes de l'hexagone.
Malgré cela il va demeurer vingt ans... et participera à deux cents corridas, sans qu'une seule année il ne paraisse pas à l'affiche. Cette carrière fut celle de la difficulté et de tous les dangers devant d'impossibles toros au point de parvenir à une espèce de perversion qui lui faisait préférer à tous les autres les légendaires toros de Miura à la réputation de mort.
Richard Milian qui a fait sa dernière corrida à Floirac en 2001 ne s'est jamais coupé la coleta. S'il avait décidé de ne plus descendre dans l'arène, il n'abandonna jamais le sens profond de cette profession, la volonté, le courage et l'honneur. Trois qualités essentielles pour un torero et indispensables, affirme-t-il, pour être un homme.
Richard Milian est un grand Monsieur qui poursuit son parcours avec cette mentalité de torero de dignité, de fierté et de respect. L'homme d'honneur qu'il a toujours été se livre dans ces pages sans jamais rien cacher, de ses bonheurs mais aussi de ses regrets.
Tous ceux qui l'ont entouré ou rencontré au cours de ces vingt ans apportent leur témoignage sur ce torero pour qui le respect des autres et de soi même est la première de toutes les vertus.
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Cet ouvrage aurait pu porter en sous-titre « Le géographe dans tous ses états », tant il est riche d'événements et d'anecdotes sur la diversité des idées avantgardistes, des idéaux politiques et des multiples activités qui ont jalonné la vie plus que mouvementée de cet ardent démocrate. Abondamment documentée, cette biographie apporte un éclairage nouveau sur celui qui fut le géographe français le plus fécond de la seconde moitié du XIXe siècle.
Élisée Reclus, le deuxième des célèbres cinq frères, est né à Sainte-Foyla- Grande (Gironde) en 1830. Ce géographe sociologue, dont la réputation est devenue universelle était une personnalité bien complexe : si l'homme privé imposait le respect par la noblesse et la générosité de son caractère, si le géographe forçait l'admiration universelle par son savoir étendu et son érudition élégante, le sociologue, dont les idées avancées avaient fait un des chefs de l'anarchisme intellectuel, fut toujours âprement discuté et combattu et ne dut même qu'à ses autres mérites de ne pas tomber sous la rigueur des lois.
Fils de pasteur, élevé en pleine théologie comme son frère Élie, tous deux perdirent leur foi et refusèrent de suivre la voie de leur père. Élisée Reclus a fait un rêve : le bonheur de l'humanité selon ses conceptions, et il part, homme de foi, pour sa belle croisade, mettant au service de tous sa bonté, ses pensées généreuses. Le géographe idéaliste va ainsi entraîner ses frères et soeurs dans une foi qu'il a transposée dans un monde réel : L'HUMANISME.
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Francis Wollf est un philosophe à la carrière brillante. Habilité à diriger des recherches en philosophie en 1998, il est nommé professeur des universités, à l'université Paris-X Nanterre en 1999.
En mai 2001, il exerce les fonctions de directeur adjoint à l'École normale supérieure, il est nommé professeur des universités de cette institution, en 2004, au département de philosophie. Il en exerce la direction pendant trois ans. Ses nombreux ouvrages lui ont donné une réputation internationale, parmi eux : « Notre humanité. D'Aristote aux neurosciences », « Trois utopies du monde moderne », « Histoire de la philosophie » ou encore « Pourquoi la musique ? ».
Francis Wolf s'est engagé pour la défense de la corrida. Il publiera « Philosophie de la corrida », « 50 raisons de défendre la corrida » ou « L'appel de Séville ». Il est intervenu en France et en Espagne, notamment en Catalogne, lors de la campagne politique qui a précédé l'interdiction des corridas. Cet engagement l'a fait connaître des aficionados du monde entier.
Dans ces « Moments de Vérité », Pierre Vidal a voulu montrer l'importance de la contribution du philosophe à ce combat à travers sa vie quotidienne et son histoire intime. On plonge ainsi dans un passé douloureux et une jeunesse romanesque. On découvre par quels hasards Francis Wolf a croisé le chemin des arènes. On le suit dans ses engagements successifs et dans ses relations avec le monde de la corrida. On découvre le regard sans concession porté sur la tauromachie contemporaine par un aficionado passionné.
Un reportage vivant, ardent et chaleureux à l'image de cet homme atypique qu'est Francis Wolff, philosophe engagé dans le combat pour la préservation d'une culture minoritaire : la corrida.
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Dans la saga de la tauromachie française, Robert Margé occupe une place essentielle et singulière. Pour trois raisons qu'Antonio Arévalo, dans son livre, nous montre avec sagacité : Robert Margé fut d'abord l'un des pionniers de l'élevage de toros braves en France. Parti de rien, il en est devenu en quelque sorte le porte-étendard avec des succès inespérés si on considère le nombre de ses toros graciés et surtout sa récente consécration madrilène lui permettant d'obtenir l'ancienneté, ce « graal » de tous ceux qui se lancent dans l'aventure ganadera. Ensuite Margé empresario fut celui qui mit les arènes du Plateau de Valras sur le rail du succès, contribuant à faire de Béziers une référence mondiale sur la planète des toros. Enfin, Margé apoderado permit, par sa perspicacité et surtout sa générosité, de faire éclore le plus grand torero que la France n'ait jamais eu : Sébastien Castella. Le témoignage de ce dernier reccueilli ici est, à cet égard, très touchant. Reste Robert l'aventurier, l'ami du riche comme du pauvre, le personnage chaleureux et empathique qui nous est présenté dans cet ouvrage : Un destin intimement lié au toro de combat et à la tauromachie française à découvrir.
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Didier goeytes, ecarteur landais - 30 ans de course landaise
Michel Puzos
- Gascogne
- 31 Mai 2013
- 9782366660197
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" Des scènes d'épouvante ont eu lieu dans les camps de Noé et de Récébédou. Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Les étrangers sont des hommes, les étrangères sont des femmes.
Tout n'est pas permis contre eux, contre ces hommes, contre ces femmes, contre ces pères et mères de famille. Ils sont nos frères comme tant d'autres. Un chrétien ne peut oublier".
Jules-Géraud Saliège, Archevêque de Toulouse 23 août 1942, à lire à toutes les messes le dimanche suivant.
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Confessions d'un autodidacte audacieux
Philippe Cazes-Carrère
- Gascogne
- 7 Novembre 2023
- 9782366661835
Témoigner et transmettre. Voilà les raisons pour lesquelles Philippe Cazes-Carrère a décidé de raconter l'histoire d'une Aventure Professionnelle Réussie : la sienne. À l'automne de sa vie d'entrepreneur, le président-fondateur du Groupe APR - ÜBI a souhaité partager avec toutes celles et ceux qui s'interrogent sur leur avenir les valeurs sur lesquelles il a construit son parcours professionnel. À tous les autres, étonnés par sa trajectoire et sa réussite, il a accepté de dévoiler ses convictions et les règles qui ont guidé ses décisions. À coeur ouvert, Philippe Cazes-Carrère ne cache rien de ses succès et de ses échecs, de sa vie de patron qui n'a pas ménagé sa peine pour se réaliser et aider celles et ceux qui l'entourent à l'imiter en leur donnant des moyens pour y parvenir. Travail, engagement et persévérance sont les mots-clés de cet autodidacte audacieux dont la seule ambition désormais est d'encourager une jeunesse, trop souvent déboussolée. Ne laissez à personne le soin de vous enlever vos rêves. Quel que soit le milieu d'où vous venez, vous pouvez y arriver. Croyez en vos rêves, ne subissez pas votre vie. C'est le credo de Philippe Cazes-Carrère, son moteur de vie dont il offre avec ce Journal un double des clés.
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ENCORE un livre sur Mai-68 ! Pas tout à fait, pas seulement.
Étudiant à Bordeaux je n'ai ni occupé la Sorbonne ni construit de barricades à Paris.
J'ai pourtant vécu ce mois de façon intense.
Mais surtout, professeur dès octobre 68, je n'ai rien oublié des espoirs et des projets que Mai à fait naître et toute ma carrière d'enseignant en a été influencée. Mai-68 et l'enseignement, c'est ce que ce livre veut évoquer à travers l'exemple d'un étudiant devenu "prof de Mai".
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«Il faut que moi, Richelieu, je prenne ma plus belle plume pour expliquer tout ce que j'ai fait, de bien ou de mal, ce dont je suis fier, ce que j'aurais pu faire de mieux. Cependant, il faut que les Français sachent quel homme j'ai été....» Richelieu au soir de sa vie décide de prendre sa plus belle plume pour écrire sa confession.
De sa naissance en 1585 à son ascension à Paris, Richelieu est d'abord destiné à une carrière militaire. En 1602, son frère devenu moine renonce à l'évêché de Luçon. Evêque de cette ville à l'âge de 22 ans, Richelieu fait face à un énorme travail en s'occupant d'un des évêchés les plus pauvres de France. En 1616, il devient, à 31 ans, ministre de Concino Concini pour peu de temps. Contraint à une traversée du désert un an plus tard, Richelieu s'accroche à son rêve pour ne pas perdre de vue ses objectifs : devenir un jour Premier-ministre du roi Louis XIII. A 37 ans, il est Cardinal, et modernise le royaume, avec la bénédiction du roi.
Avec ce 7ème ouvrage historique, « Moi, Richelieu », Eric Leclercq fait parler le Cardinal dans une sorte de testament imaginaire mais s'appuyant sur des faits historiques.. Il nous permet de redécouvrir un personnage haut en couleurs qui a marqué de son empreinte l'histoire de France.
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Auguste champetier de ribes - la foi dans la republique
Philippe Dazet-Brun
- Gascogne
- 26 Juin 2015
- 9782366660630
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"Ce livre de mémoire, réalisé en dix ans par Henry Diaz, vous révélera une belle et grande page d'histoire vécue, au centre de laquelle se trouve l'organisation méticuleuse des maquis du Cher. Déjà, en 1936, engagé auprès des Brigades internationales d'Espagne, notamment sur le front de Madrid, Henry découvrit la solidarité, le courage et la ténacité nécessaires dans la lutte contre l'engrenage meurtrier du fascisme franquiste. Pendant la guerre, fait prisonnier. Il s'évade d'Allemagne. De retour en France, Henry participe, avec ses camarades de combat, à la constitution des maquis du Cher, Il n'a alors qu'une idée en tête chasser l'envahisseur pour qu'enfin son pays retrouve liberté et souveraineté. Micheline, son épouse, fut également une militante engagée, comme agent de liaison. Henry Diaz relate ces luttes de la Résistance dans le Cher de façon précise et détaillée, avec le souci de ne pas altérer l'authenticité des faits. Ce récit fait revivre le souvenir de nombreux acteurs de la Résistance dans la région. Il trace aussi le portrait d'un militant, d'un résistant dont les idéaux sont la paix et la vie.
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Boué de Lapeyrère ; 1852-1924 ; l'amiralissime gascon
Jean-philippe Zanco
- Gascogne
- 8 Juillet 2016
- 9782366660869
Gaston Boué de Lapeyrère (1852-1924) entra dans la marine à l'époque où Jules Verne publiait ses premiers Voyages extraordinaires. Comment ce jeune Lectourois, dont les racines familiales puisaient dans la profondeur du terroir gascon, put-il mener une carrière aussi hors du commun ?
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Le génie des frères reclus ; Paul Reclus (1847-1914)
Gérard Fauconnier
- Gascogne
- 19 Mai 2016
- 9782366660906
Issus d'une fratrie de 15 enfants dont le père, Jacques, est pasteur protestant et la mère, Zéline, une femme remarquable de ressources, les 5 frères Reclus se sont fait remarquer par l'éclat de leur intelligence et la générosité de leurs idées. Chacun s'est illustré, à sa façon, dans les grands bouleversements qui ton secouré la seconde moitié du XIXè siècle