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Do Bentzinger
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Une saison avec Antoine Vitez
Monique Vaugenot-Deitchmann
- Do Bentzinger
- 10 Novembre 2017
- 9782849606285
Lang et Antoine Vitez lancèrent la grande aventure du théâtre pour enfants voici, entre autres, ce que raconte ce récit. On y apprend les péripéties de la rencontre avec Antoine Vitez après l'expérience du théâtre de Bertold Brecht à Strasbourg, de l,Actor's studio au Théâtre de la Cité Universitaire à Paris. Après un rappel du parcours d'Antoine Vitez et de l'originalité de son apport, nous pouvons découvrir comment naquit le spectacle Vendredi ou la vie sauvage adapté pour les enfants, par Michel Tournier, de son livre pour adultes Vendredi ou le limbes du Pacifique».
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Accompagnons nos morts ; survivre au deuil...
Claire-lyse Schmitt
- Do Bentzinger
- 8 Septembre 2016
- 9782849605738
Par ce livre, je souhaite partager ce qui m'a sauvée du drame le plus tragique pour une mère : perdre son enfant. Quand la mort s'invite à votre table de cette manière, deux possibilités : se laisser mourir ou croire. Croire en une vie après la mort, au fait qu'il faut accompagner ses morts, et les prier, qu'une relation peut perdurer entre vous et lui.
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Ce livre est un récit de soi qui procède par allées et venues, entre les couches du réel? tragique. Il confie aux pages, aux lecteurs, les deuils qui secouent ma vie. A 11 ans, mon père, ma grand-mère, mon frère meurent dans un accident de voiture, un soir de janvier? A 49 ans, ma fille meurt et deux ans plus tard son père aussi?
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Aus der weiten ferne... ; j'ai rencontré mon oncle Paul
Jean-Paul Belvoix
- Do Bentzinger
- 11 Octobre 2018
- 9782849606643
14 janvier 1943. Il y a 75 ans, Paul Bastien quittait pour toujours ses proches, ses copains, son village, sa Lorraine qu'il aimait tant (son Heimatland)... Pendant plus de deux ans, j'ai cheminé avec mon oncle sur les traces sanglantes que sa division a laissées derrière elle en Grèce... J'ai marché avec lui, j'ai contemplé des paysages sublimes, j'ai également assisté à des spectacles de désolation... J'ai été submergé par l'émotion quand la nostalgie le gagnait... J'ai rencontré un jeune homme sérieux, réservé, pour ne pas dire timide, qui accomplit son devoir avec gravité mais à contrecoeur... J'ai pu mesurer tout le drame de la séparation. L'attachement à sa famille est sans limite... Mais très vite, il accepte son sort. Cette résignation, ce fatalisme le pousse encore davantage vers la religion. Il reste fidèle à son Dieu et jusqu'à la dernière lettre, il garde confiance en lui...
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Le Mulhouse de ses jeunes années, celui d'entre les deux Guerres mondiales et le retour après la guerre 39 - 45, plutôt tumultueux fait suite aux «Récits de Margh ».
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Dessins, croquis, ex-libris...
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Madeleine Harth a 14 ans et demi. Elle a rédigé et illustré pour sa petite soeur Nicole qui a 6 ans, ce livre comme cadeau de Noël. On est à Mulhouse en 1914, et en guerre depuis six mois !
Sur 76 pages, écrit d'une sage écriture penchée avec juste ce qu'il faut de fautes d'orthographe comme preuve qu'aucune grande personne n'a corrigé le texte, se déroule la vie quotidienne de trois petites filles : Misi, Tini et Lili.
Une page sur deux est entièrement dessinée et peinte avec un trait sûr, des couleurs vives et le monde est décrit tel qu'il aurait pu être.
Enterrement d'une poupée, voyages au bord de la mer ou à la neige, fêtes d' anniversaires ou bal costumé, sapin de Noël, tenues élégantes, tout est vraisemblable et inventé à la fois ! Des jouets et des amis comme elle rêve d'en avoir, une décapotable rouge comme ses parents n'en avaient certes pas, un petit frère inventé, la plage où elle n'est jamais allée, et surtout des parents affectueux et généreux dont elle sait que cela peut exister quelque part, ailleurs...
14 ans. Elle peint depuis toujours, lit beaucoup et écrit avec facilité. Devant elle, un long chemin de peines et de créativité, mais maintenant elle est encore pleine d'optimisme et de naïveté. Presqu'un siècle plus tard, deux musées (à Morges en Suisse et à Evry, près de Paris) consacre chacun une salle à son oeuvre signée de son nom de mariage SCHLUMBERGER ou d'un nom d'artiste MARIE D'AILLEURS. Elle a laissé des scènes théatralisées, des tableaux, des manuscrits, une oeuvre immense dont l'ébauche se trouve peut être dans ce petit livre écrit pendant son adolescence.
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Patricia a quarante-sept ans lorsqu'elle réalise que le cancer, dont elle se croyait guérie, récidive.
Moralement et physiquement vaincue, elle décide dans l'urgence de raconter son histoire. Faire comprendre à ses proches les raisons du choix crucial qu'elle vient de faire, voilà son dernier combat. Récit intime et émouvant, certes, le destin s'acharnant avec cruauté sur elle et les siens. Mais, au fil des pages, le lecteur entre sur la pointe des pieds dans une aventure dont il était loin de se douter.
Il oublie son mouchoir humide de larmes de compassion pour se plonger dans la saga d'une famille Pied Noire d'Oran, hantée dans son exil par la nostalgie de sa terre natale. Il découvre une jeune femme qu'une surprenante rage de vivre aide à surmonter les drames de sa vie et qui s'offre le luxe d'un épisode de quelques années en Tunisie digne d'un thriller. Elle en rentre ruinée, mais indemne, pour se retrouver sur un lit d'hôpital Aujourd'hui, elle ignore ce que l'avenir lui réserve.
Mais elle garde dans son coeur l'image exemplaire de son père qui répétait que seul Dieu décide... Bon courage, Patricia.
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D'une demeure, d'une dame et d'un serviteur
Schlumberger Madelei
- Do Bentzinger
- 26 Janvier 2008
- 9782849601280
La Dame est la narratrice. La Demeure, un vieux moulin provençal, est havre de paix et de grâce, accueillant chiens, hirondelles, crapaud. et hibou, mais également des visiteurs du monde entier. Le Serviteur est au centre de l'histoire. Lui qui n'a jamais mangé à sa faim ni connu l'école dans sa Calabre natale est venu chercher la paix et la sérénité, après une longue vie de labeur. Bien malin qui devinerait son âge. Sans âge ? entre deux âges ? entre deux millénaires ? entre deux mondes ? Il est jardinier et cuisinier, homme à tout faire, avec sa fierté et des manières de grand seigneur. C'est à lui que la Dame laisse la parole, car dit Cocteau : «La langue française a été usée jusqu'à ce que mort s'en suive». La Dame sourit : «Que n'avez-vous connu Jérôme, cher Cocteau, car lui a des mots qui ne sont ni plumés, ni vidés, ni ébouillantés, ni décolorés, mais... inventés. Une langue qui s'écrit comme elle se parle...» Son jugement est toujours juste, il reste fidèle à des valeurs que personne ne lui a enseignées. Il découvrira l'univers des livres et se plonge dans la Légende Dorée, Saint Augustin, les mystiques chrétiens, et même les Maîtres du Thé japonais. Le moine qui sommeillait en son coeur s'éveille. En marge du monde , il devient sans le savoir un modeste disciple de Saint François . «Tout ce qui est vénérable et beau dans l'être humain peut en lui se voir face à face». La Dame est artiste, elle écrit, peint et créée des maisons de poupées, des mises en scènes à partir d'objets miniatures anciens. Une oeuvre immense est en train de s'élaborer dans la sérénité. Ce n'est pas le sujet de ce livre. Des orages pourtant se préparent. Longtemps après qu'auront disparus la Demeure, la Dame et le Serviteur, l'oeuvre de la Dame, Madeleine Schlumberger, dite Marie d'Ailleurs de son nom d'artiste, née en 1900, sera accueillie dans deux musées : le Musée Alexis Forel, à Morges près de Lausanne, qui consacre une salle à ces scènes, et le musée Paul Delouvrier dans la cathédrale d'Evry, près de Paris, où un espace clos, l' «Ecrin» présente des scènes de piété populaire crées ou restaurées par la Dame.
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Le chemin de lecriture dun journaliste alsacien
Francis Braesch
- Do Bentzinger
- 15 Avril 2006
- 9782849600719
Ecolier chahuteur et bagarreur à Lépanges-sur-Vologne pendant la guerre, ce petit alsacien ne change pas, toujours aussi frondeur, à son arrivée à Colmar en 1947. Rien d'étonnant qu'il soit, en classe de 5ème, renvoyé du Lycée Bartholdi, mais bof ! Ce qui lui importe par-dessus tout, ce sont ses vacances, rue des Soeurs, à proximité des Soieries Baumann Ainé, chez ses grands-parents à Soultz où il est né. Sa famille y a vécu des années maigres mais heureuses dans cette très ancienne cité, riche en mémoires historiques et ouvrières encore entourée de murailles, très connue pour son particularisme exacerbé. La vie d'ici lui convient, le cadre le rassure. Au Collège Moderne et Technique de Colmar, Madame K. professeur de français le prend en affection. Elle lui trouve un authentique talent de conteur et lui insuffle la folle ambition de vouloir vivre de sa plume...Son écriture prend de l'ampleur au Collège Cévenol en pleine construction où, grâce à la recommandation du pasteur B., il est accueilli dans une ambiance un peu sauvage et profondément humaniste...Journaliste, il débute aux «Dernières Nouvelles d'Alsace» à Strasbourg. Bien vite, il se rebelle, leur claque la porte au nez à deux reprises, le regrettant presque immédiatement ! Il aboutit par hasard à «L'Alsace» le journal mulhousien. Pendant 30 ans, il écrit chaque jour billets, échos, «petits papiers» dans un genre populaire et familier qu'il invente avec un regard particulier sur le sport, son jardin préféré.
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Le regard etoile ; itineraire d'un enfant surdoue
Pascale Lintz
- Do Bentzinger
- 1 Mars 2006
- 9782849600641
Un jour se lève avec l'étrange impression que tout ne sera plus jamais comme avant. Un événement force à l'abandon de l'enfance insouciante et le regard s'ouvre sur la dure réalité du monde.
Comment retrouver alors la force en soi pour survivre oe
Le héros transforme sa solitude en une force invincible et utilise son intelligence pour ne pas plier aux errements totalitaires de son époque.
Une méditation, pour les petits et pour les grands, sur la pertinence de la révolte et sur une réponse possible, mais jamais définitive, à l'incompréhension et à l'intolérance.
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Catherine Sanfilippo signe son livre Dans l'attente d'une vie meilleure de son nom de jeune fille : Panaia. Quand elle naît dans une famille très pauvre de la Calabre de l'après-guerre, quatrième d'une fratrie de huit enfants, elle s'appelle encore Caterina, petite fille que des parents, soucieux et abîmés par une existence très rude, câlinent quand ils en ont le temps... Dans son enfance démunie, l'insouciance a donc peu de place. Ses parents, la plupart du temps sans ressources dans cette région aride, ne pouvant assurer la subsistance de tous, décident de placer leurs trois aînés. Caterina, dès l'âge de 7 ans est donc confiée à une famille de nantis de leur village où elle sert de bonne à tout faire. Quand, jeune adolescente, elle arrive en France, elle découvre avec excitation et stupeur les réalités de l'eldorado dont ses parents rêvaient. Tout au long de sa vie marquée par le deuil, un divorce, beaucoup de déceptions et un travail acharné, l'auteur réussit sa vie matérielle, mais peine à se débarrasser de ses complexes de pauvre en son pays et d'étrangère en sa terre d'adoption. A-t-elle droit au bonheur oe À tout juste soixante ans, Catherine Panaia espère bien que le meilleur est à venir !
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Il y a quarante ans, le 23 novembre 1976, disparaissait André Malraux, écrivain, philosophe de l'art, combattant dans les brigades internationales contre Franco, résistant à la tête de la Brigade Alsace Lorraine, ministre de la culture' « le plus noble aventurier de ce siècle » comme l'avait appelé le père Bockel. Redécouvrir Malraux est d'autant plus exaltant pour nous que les liens réels et forts qui l'unissent à l'Alsace ne constituent pas le moindre paradoxe de ce personnage hors normes. Il s'agit aussi de son aspect le moins connu.
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Témoignage de la profonde piété qui, à travers les siècles a animé les populations du Sundgau, de nombreuses croix ont été érigées un peu partout dans cette région du Sud de l'Alsace.
Si nous en trouvons dressées aux carrefours des routes, au bord des chemins et dans les rues des villages, il n'est pas rare d'en découvrir également en plein milieu des champs et au plus profond des bois.
Les croix se présentent sous des aspects multiples, exécutées en bois, fer, ou fonte et en pierres diverses, comme le grès des Vosges ou les calcaires du Sundgau ou encore le marbre plus travaillé.
La variété des styles, des dimensions et des matériaux s'explique tant par le goût de l'époque que par la richesse du donateur et l'habileté de l'artiste à perpétrer un souvenir ou à commémorer un événement important.
Petit territoire au relief vallonné, le Sundgau est une région qui fut marquée par le temps et l'histoire. Si ce n'étaient pas les guerres, ce furent les épidémies et leurs conséquences qui affectèrent sa population et ses habitudes.
Fils de la terre, le sundgauvien eut une vie très liée à la foi religieuse et les croix sont les signes de sa dévotion.
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L'auteur vous fait partager ses aventures de petit alsacien né sous l'occupation allemande. Puis il vous entraine dans le tunnel de ses études à la Française qui vont l'amener à entrer à Polytechnique, cette école si singulière. Avec lui vous irez ensuite du Texas à l'Armée de l'Air Française, puis d'une multinationale pétrolière à une pittoresque PME franc-comtoise, au gré de ses premières expériences professionnelles. Tâtonnements au terme desquels il va opter pour le métier de conseil en management des entreprises. Un métier qu'il va faire avec passion, d'abord à partir de Strasbourg, puis, après 1985, à partir de Paris.
Dans son témoignage, riche d'anecdotes personnelles, il essaie de comprendre en quoi ses racines familiales et alsaciennes ont contribué à façonner son parcours, en quête de ce qu'il appelle « sa part d'Alsace »
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A l'image du puits à balancier qui orne à nouveau la place de la mairie, « repère vivant d'un passé ancestral, dressant son long bras dans le ciel comme une canne à pêche lancée à la recherche du temps passé », Thécla Jaubert-Moog est partie à la glane aux souvenirs d'enfance et de jeunesse, à l'ombre « du clocher altier qui telle une vigie domine le village-vaisseau amarré à ses pieds » : Schleithal archétype du village-rue, le plus long d'Alsace.
Elle en rapporte, par un style vivant et coloré, une riche moisson où dans un fin tissu se mêlent les souvenirs personnels et les traditions restées vives en nos coeurs.
Certes, le spectre de la guerre se profile à l'horizon de sa naissance en 1937, et elle fait d'abord éprouver la tempête qui a si souvent marqué l'histoire de notre région : l'évacuation en Haute-Vienne, la mobilisation de l'oncle Jean « malgré lui », celle du père dans le « Volkssturm », les années d'annexion forcée, vécues dans la peur et les répressions...
Mais c'est surtout un vibrant hommage rendu par l'auteur au monde, qui n'existe plus, celui de ses jeunes années après le 2ème conflit mondial. Son évocation précise mêle prose et poésie, multipliant les points de vue dans une narration truffée d'anecdotes, riche d'images et de sensations : on y entend le vol lourd des hannetons dans la douceur de l'air printanier comme on croit y goûter le « Zisser », le vin nouveau qui coule du pressoir... Par la puissance de résurrection qui transforme la mémoire en de frémissants mémoires, Thécla Jaubert-Moog redonne vie à toute une culture fondée sur le travail et sur la religion qui continue de palpiter en secret. Ceux qu'a nourris cette culture auront le sentiment de toucher dans ce livre, émus, leurs propres souvenirs ; à tous il fera connaître, ou reconnaître avec plus d'acuité, les racines où l'on puise la vie.
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Nelly Schaub est la femme qui a donné vie à ces quelques très bonnes tables strasbourgeoises où l'on s'est toujours senti à l'aise, quoi qu'il arrive. On pense que sa générosité, son rire et son énergie lui sont simplement naturels. Mais qui d'entre nous sait d'où viennent vraiment ces belles qualités '
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Le couloir d'un hôpital désert et silencieux, un soir d'août. Au fond à droite, dans un coin, ma compagne, Nicole, couchée sur un brancard, sans perfusion ni trace apparente de soins.
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Gabriel Alapetite ; un grand serviteur de l'Etat
François Leblond
- Do Bentzinger
- 10 Novembre 2017
- 9782849606254
Gabriel Alapetite a été membre du Corps Préfectoral 48 ans de 1876 à 1924, nommé préfet en 1888, Résident Général en Tunisie de 1907 à 1918, Ambassadeur à Madrid de 1918 à 1920, Commissaire Général pour l'Alsace Lorraine libérée de 1920 à 1924.
Cet homme, attaché aux valeurs qui lui avaient été inculquées, a voulu partout répondre aux soucis majeurs des populations : les vignerons du Beaujolais victimes du Phylloxera, les mineurs du Pas de Calais dont il fallait reconnaître la pénibilité de la tâche, les quartiers sans hygiène d'une grande ville comme Lyon, les populations autochtones de la Tunisie attendant de nous progrès économique, lutte contre l'illettrisme et contre les maladies, l'Alsace Lorraine enfin, redevenue française dont on devait reconnaître la spécificité.
Pendant le demi-siècle qui suivit le Second Empire, la République a connu des conflits : religion contre athéisme, naissance du socialisme, pacifisme contre nationalisme, Gabriel Alapetite s'est situé résolument audelà des divisions : immense travailleur, apôtre du dialogue, il a manifesté un grand courage dans les moments difficiles.
La leçon qu'il nous a ainsi donnée vaut pour toutes les époques, c'est ce que j'ai voulu montrer en écrivant ce livre.
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Né en Alsace en 1927 Hermann a porté l'uniforme allemand, américain et français. Après avoir vécu en Alsace, aux Etats-Unis, en Afrique puis en France, où il a créé près de Chartre une entreprise de Travaux publics, l'auteur défend son identité européenne hors des nations.
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En parlant de sa vie Claude Elsaesser s'efface et parle de ceux qu'il a rencontrés et qui font ou qui ont fait l'Alsace d'aujourd'hui.
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L'itinéraire d'un prêtre alsacien, écrivain français de langue allemande. Après une biographie, l'auteur étudie l'oeuvre philosophique de Karl Pfleger, presque inconnue en France ..
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L'espoir mots pour maux Que faire face au handicap de son enfant'' Comment appréhender les difficultés et quelles sont les démarches à entreprendre '